À Washington, une rencontre décisive s’est tenue entre Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères, et Marco Rubio, nouveau Secrétaire d’État américain. Ce face-à-face, marqué par une entente cordiale et une convergence stratégique affirmée, confirme un virage désormais irréversible dans les relations maroco-américaines.
Le cœur des discussions : la question du Sahara. Marco Rubio n’a laissé place à aucune ambiguïté. Les États-Unis maintiennent leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara et soutiennent avec fermeté le plan d’autonomie proposé par Rabat comme étant l’unique solution sérieuse et crédible au conflit régional. Un message limpide, dans la continuité de la décision historique annoncée en décembre 2020 par l’ancien président Donald Trump, et que l’administration américaine, sans discontinuité, persiste à défendre.
Au-delà des déclarations de principe, Washington entend jouer un rôle actif pour encourager des négociations fondées exclusivement sur la proposition marocaine. Une manière claire de marginaliser les autres approches, notamment celle prônée par Alger, dont les prétentions apparaissent de plus en plus isolées sur la scène internationale.
Cette confirmation américaine s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’une diplomatie marocaine méthodique, alignée sur la vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et qui engrange des soutiens de poids. À chaque étape, Rabat gagne du terrain, renforçant ses acquis territoriaux et diplomatiques.
Pour Alger, cette déclaration n’est pas qu’un revers supplémentaire. Elle sonne comme la fin des illusions. Alors que certains espéraient un infléchissement de la position américaine, c’est au contraire une consolidation ferme qui vient d’être actée. La messe semble dite : la souveraineté marocaine bénéficie d’un soutien croissant et structurant parmi les grandes puissances, dont la France et les États-Unis, laissant peu d’espace aux thèses adverses.
En définitive, cette rencontre marque un moment fort : celui où la diplomatie marocaine se voit confirmée dans sa stratégie et son cap, tandis que son voisin de l’Est doit désormais faire face à une réalité géopolitique de plus en plus défavorable.
Le cœur des discussions : la question du Sahara. Marco Rubio n’a laissé place à aucune ambiguïté. Les États-Unis maintiennent leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara et soutiennent avec fermeté le plan d’autonomie proposé par Rabat comme étant l’unique solution sérieuse et crédible au conflit régional. Un message limpide, dans la continuité de la décision historique annoncée en décembre 2020 par l’ancien président Donald Trump, et que l’administration américaine, sans discontinuité, persiste à défendre.
Au-delà des déclarations de principe, Washington entend jouer un rôle actif pour encourager des négociations fondées exclusivement sur la proposition marocaine. Une manière claire de marginaliser les autres approches, notamment celle prônée par Alger, dont les prétentions apparaissent de plus en plus isolées sur la scène internationale.
Cette confirmation américaine s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’une diplomatie marocaine méthodique, alignée sur la vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et qui engrange des soutiens de poids. À chaque étape, Rabat gagne du terrain, renforçant ses acquis territoriaux et diplomatiques.
Pour Alger, cette déclaration n’est pas qu’un revers supplémentaire. Elle sonne comme la fin des illusions. Alors que certains espéraient un infléchissement de la position américaine, c’est au contraire une consolidation ferme qui vient d’être actée. La messe semble dite : la souveraineté marocaine bénéficie d’un soutien croissant et structurant parmi les grandes puissances, dont la France et les États-Unis, laissant peu d’espace aux thèses adverses.
En définitive, cette rencontre marque un moment fort : celui où la diplomatie marocaine se voit confirmée dans sa stratégie et son cap, tandis que son voisin de l’Est doit désormais faire face à une réalité géopolitique de plus en plus défavorable.