Ce mardi 3 décembre 2024, une imposante délégation composée de 50 entreprises et organisations professionnelles américaines a posé ses valises à Casablanca. Cette visite, organisée par le Service agricole extérieur du département américain de l’Agriculture, s’inscrit dans une stratégie de renforcement des échanges commerciaux avec le Maroc et, plus largement, avec le continent africain. Les enjeux pour les États-Unis sont clairs : consolider leur présence sur un marché marocain en pleine évolution et répondre à une demande croissante de produits alimentaires, notamment en viandes rouges.
Depuis l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre les deux pays en 2006, les échanges agricoles ont connu une croissance exponentielle. En 2023, les exportations agricoles américaines vers le Maroc ont atteint 619 millions de dollars, représentant 16 % des exportations américaines vers le continent africain. Ces chiffres reflètent l’importance du Royaume comme partenaire commercial de choix, mais également comme porte d’entrée vers les marchés d’Afrique de l’Ouest.
Dans un contexte marqué par des importations massives de viandes rouges ces derniers mois pour stabiliser les prix et régénérer le cheptel national, les États-Unis entendent se positionner en tête de cette course. Les viandes, les produits laitiers, les céréales et même les produits de la mer figurent parmi les secteurs ciblés par cette mission.
Prévue jusqu’au 5 décembre, la visite de la délégation américaine comporte des rencontres clés avec des importateurs marocains ainsi que des représentants d’autres pays africains, notamment la Côte d’Ivoire, le Sénégal et la Gambie. Ces réunions visent à établir de nouveaux partenariats commerciaux et à renforcer les flux d’échanges entre les différentes parties.
Pour les États-Unis, cette mission est aussi une opportunité d’élargir leur influence sur des marchés prometteurs. Le Maroc, avec son positionnement géographique et sa stabilité économique, joue un rôle de hub pour le commerce en Afrique.
L’arrivée de cette délégation intervient dans un contexte où le marché marocain est en quête de solutions pour répondre à la demande croissante des consommateurs en produits alimentaires diversifiés. Les viandes rouges, en particulier, sont au centre des préoccupations. En renforçant leurs exportations vers le Royaume, les États-Unis espèrent non seulement soutenir les efforts marocains pour stabiliser les prix, mais également répondre aux attentes de qualité des consommateurs locaux.
Au-delà des enjeux économiques, cette mission agricole reflète la volonté des deux nations de consolider un partenariat stratégique. Pour les Américains, il s’agit de sécuriser une position dominante sur un marché en pleine expansion. Pour le Maroc, cette collaboration est une occasion de diversifier ses sources d’approvisionnement et d’attirer des investissements étrangers.
Cependant, cette dynamique commerciale n’est pas exempte de défis. Le Royaume devra veiller à équilibrer ses importations pour éviter une dépendance excessive à des produits étrangers et continuer à soutenir son agriculture locale.
En s’ouvrant davantage au Royaume et à l’Afrique, les États-Unis confirment leur ambition de rester un acteur incontournable dans la région. De son côté, le Maroc poursuit son objectif de devenir une plateforme régionale d’échanges, tout en préservant les intérêts de ses producteurs locaux.
Depuis l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre les deux pays en 2006, les échanges agricoles ont connu une croissance exponentielle. En 2023, les exportations agricoles américaines vers le Maroc ont atteint 619 millions de dollars, représentant 16 % des exportations américaines vers le continent africain. Ces chiffres reflètent l’importance du Royaume comme partenaire commercial de choix, mais également comme porte d’entrée vers les marchés d’Afrique de l’Ouest.
Dans un contexte marqué par des importations massives de viandes rouges ces derniers mois pour stabiliser les prix et régénérer le cheptel national, les États-Unis entendent se positionner en tête de cette course. Les viandes, les produits laitiers, les céréales et même les produits de la mer figurent parmi les secteurs ciblés par cette mission.
Prévue jusqu’au 5 décembre, la visite de la délégation américaine comporte des rencontres clés avec des importateurs marocains ainsi que des représentants d’autres pays africains, notamment la Côte d’Ivoire, le Sénégal et la Gambie. Ces réunions visent à établir de nouveaux partenariats commerciaux et à renforcer les flux d’échanges entre les différentes parties.
Pour les États-Unis, cette mission est aussi une opportunité d’élargir leur influence sur des marchés prometteurs. Le Maroc, avec son positionnement géographique et sa stabilité économique, joue un rôle de hub pour le commerce en Afrique.
L’arrivée de cette délégation intervient dans un contexte où le marché marocain est en quête de solutions pour répondre à la demande croissante des consommateurs en produits alimentaires diversifiés. Les viandes rouges, en particulier, sont au centre des préoccupations. En renforçant leurs exportations vers le Royaume, les États-Unis espèrent non seulement soutenir les efforts marocains pour stabiliser les prix, mais également répondre aux attentes de qualité des consommateurs locaux.
Au-delà des enjeux économiques, cette mission agricole reflète la volonté des deux nations de consolider un partenariat stratégique. Pour les Américains, il s’agit de sécuriser une position dominante sur un marché en pleine expansion. Pour le Maroc, cette collaboration est une occasion de diversifier ses sources d’approvisionnement et d’attirer des investissements étrangers.
Cependant, cette dynamique commerciale n’est pas exempte de défis. Le Royaume devra veiller à équilibrer ses importations pour éviter une dépendance excessive à des produits étrangers et continuer à soutenir son agriculture locale.
En s’ouvrant davantage au Royaume et à l’Afrique, les États-Unis confirment leur ambition de rester un acteur incontournable dans la région. De son côté, le Maroc poursuit son objectif de devenir une plateforme régionale d’échanges, tout en préservant les intérêts de ses producteurs locaux.