La journaliste Leila Slimani, traite dans son livre intitulé “Sex et mensonges : la vie sexuelle au Maroc” un sujet tabou selon les normes de la société marocaine, le viol et l’avortement.
Au Maroc comme partout ailleurs, les femmes hésitent à porter plainte contre leur agresseur lorsqu’elles ont été violées.
C’est malheureusement une question d’éducation sexuelle, la femme marocaine en générale n’a pas été éduqué de manière à savoir que son corps n’appartient qu’à elle et qu’elle est libre d’en disposer comme elle le souhaite. Il y a donc toujours une part de culpabilité et de honte vis-à-vis du regard de la société.
Une peur réelle d'être rejeté, même en déposant sa plainte, et même en gagnant son procès, devient une paria ou pire encore l’objet de soupçons.
Au Maroc comme partout ailleurs, les femmes hésitent à porter plainte contre leur agresseur lorsqu’elles ont été violées.
C’est malheureusement une question d’éducation sexuelle, la femme marocaine en générale n’a pas été éduqué de manière à savoir que son corps n’appartient qu’à elle et qu’elle est libre d’en disposer comme elle le souhaite. Il y a donc toujours une part de culpabilité et de honte vis-à-vis du regard de la société.
Une peur réelle d'être rejeté, même en déposant sa plainte, et même en gagnant son procès, devient une paria ou pire encore l’objet de soupçons.
La problématique de l’avortement clandestin
Au Maroc, l'éducation sexuelle est inexistante puisque les relations sexuelles hors mariage sont interdites, elles ne sont donc pas encadrées. Les femmes, lorsqu’elles tombent enceinte hors des liens du mariage, se retrouvent dans une situation très difficile, puisque l’avortement est interdit par la loi et que le statut de fille/mère est très compliqué et est considéré comme étant un statut de paria.
Il y à donc au Maroc entre 500 et 600 avortements clandestins par jour et c’est exactement en ça que cette politique d’hypocrisie entraîne énormément de souffrance chez les femmes et chez les hommes aussi bien sur.
Au Maroc, l'éducation sexuelle est inexistante puisque les relations sexuelles hors mariage sont interdites, elles ne sont donc pas encadrées. Les femmes, lorsqu’elles tombent enceinte hors des liens du mariage, se retrouvent dans une situation très difficile, puisque l’avortement est interdit par la loi et que le statut de fille/mère est très compliqué et est considéré comme étant un statut de paria.
Il y à donc au Maroc entre 500 et 600 avortements clandestins par jour et c’est exactement en ça que cette politique d’hypocrisie entraîne énormément de souffrance chez les femmes et chez les hommes aussi bien sur.