Comment l’être humain pourra t – il s’intégrer socialement ?
La cohésion sociale :
A l’origine il y a la société, notre société ,dans laquelle vivent des hommes, des femmes, des étudiants ...
L’inclusion sociale consiste à faire en sorte que toutes ces personnes aient les moyens de participer activement à la société en fonction de leurs possibilités tout en y étant reconnus. Une société inclusive, c’est le respect des différences et des particularités de chaque individu.
Chaque personne a droit au bien-être individuel. Mais la cohésion sociale comporte aussi une dimension collective. Une société réellement cohésive vise un équilibre entre les individus et une diminution des inégalités sans pour autant nier les besoins spécifiques de chacun. Donc une société solidaire et coresponsable où il fait bon de vivre ensemble . Ainsi se forme un maillage social où il n y a pas de perdants, mais que des gagnants ! C’est ce qu’on appelle la COHÉSION SOCIALE !
L’homme comme étant un être sociable :
A l’origine il y a la société, notre société ,dans laquelle vivent des hommes, des femmes, des étudiants ...
L’inclusion sociale consiste à faire en sorte que toutes ces personnes aient les moyens de participer activement à la société en fonction de leurs possibilités tout en y étant reconnus. Une société inclusive, c’est le respect des différences et des particularités de chaque individu.
Chaque personne a droit au bien-être individuel. Mais la cohésion sociale comporte aussi une dimension collective. Une société réellement cohésive vise un équilibre entre les individus et une diminution des inégalités sans pour autant nier les besoins spécifiques de chacun. Donc une société solidaire et coresponsable où il fait bon de vivre ensemble . Ainsi se forme un maillage social où il n y a pas de perdants, mais que des gagnants ! C’est ce qu’on appelle la COHÉSION SOCIALE !
L’homme comme étant un être sociable :
« Malheur à l’homme seul ! car, lorsqu’il sera tombé, il n’aura personne pour le relever »
ce proverbe est tiré du Livre de l'Ecclésiaste, et nous explique directement que l’homme n’est pas fait pour vivre seul, l’existence des autres est nécessaire. Tous les Hommes sont réunis et vivent ensemble dans une société.
On trouve trois types d’organisations sociales qui s’imbriquent les unes dans les autres en quelque sorte comme des poupées russes :
On trouve trois types d’organisations sociales qui s’imbriquent les unes dans les autres en quelque sorte comme des poupées russes :
- La famille, pour commencer, qui est fondée sur le sentiment d’amour qui unit ses membres ;
- ensuite le village, né à partir de la réunion de plusieurs familles et qui fondé sur l’intérêt qui unit les communautés entre elles et là il s’agit de satisfaire des besoins de première nécessité à savoir la nourriture, la protection et la reproduction ;
- et puis la cité qui est la plus grande organisation sociale qui englobe les deux précédentes qui est née à partir de la réunion de plusieurs villages. Cette dernière est la destination finale de l’homme et c’est la plus importante parce qu’elle est basée sur des valeurs à la fois morales et politiques qui doivent être partagées par tous les citoyens.
On peut conclure que l’Homme est un animal raisonnable, politique, parlant comme le désigne quelqu’un, et ceci veut dire principalement que l’être humain a constamment besoin de communiquer avec un certain langage, et d'une certaine manière afin d’avoir des interactions sociales avec des individus tout comme lui.
La socialisation dans le monde du travail
La socialisation est un processus qui agit tout au long de la vie , on trouve deux types de socialisation : primaire et secondaire. La socialisation primaire correspond à la période de l’enfance tandis que la secondaire correspond à l’âge adulte jusqu’à la fin de vie.
C’est un processus d’acquisition et d’intériorisation de valeurs et de normes sous l’influence d'instances de socialisation.
-Le travail intègre les individus , il est désigné comme étant une instance de socialisation, une source de revenus et de droits sociaux. Il permet aussi l’apprentissage / l’intériorisation de codes sociaux (horaires, respect, sens de la propriété, etc.).
-Les relations dans le travail remplissent une fonction de socialisation secondaire et influencent la sociabilité des individus.
-Le travail contribue à définir la position sociale de l’individu et participe au phénomène de mobilité sociale. En dehors du monde du travail, la sociabilité se développe car on peut retrouver les mêmes personnes avec qui on travaille dans le même quartier.
On peut conclure que l’homme est effectivement un être sociable. Il n’existe que par le contact avec ses semblables, et que la socialisation est l’apprentissage de la vie en société, quel que soit l’environnement où l'Homme vit. Le travail n’est donc pas toujours un facteur d’intégration social, et par le processus d’intégration on acquiert des valeurs, des normes qui font de nous de bon citoyens qui vivent en homogénéité, sans problème.
[ Docteur Kadili, Président de la Fondation Tamkine, pour sa part, trouve dans cet article une ouverture sur de nouvelles perspectives: l'homme le sera t - il encore dans quelques années dans un monde de plus en plus virtuel où réalité virtuelle devient de plus en plus présente, envahissant tous les aspects de notre vie; où il n'est plus nécessaire de quitter son chez soi pour tout recevoir mêmes les choses les plus triviales; et à partir d'où nos avatars irons faire le travail pour nous, rencontrer nos "semblables", tenir des réunions, négocier, contracter, et pourquoi pas plaider devant des juges eux aussi représentés par leurs avatars dans des tribunaux faisant partie de ce monde META qui nous est proposé... ]
Rédigé par Aya Kamime, La Fondation Tamkine
#Tamkine_ensemble_nous_réussirons
C’est un processus d’acquisition et d’intériorisation de valeurs et de normes sous l’influence d'instances de socialisation.
-Le travail intègre les individus , il est désigné comme étant une instance de socialisation, une source de revenus et de droits sociaux. Il permet aussi l’apprentissage / l’intériorisation de codes sociaux (horaires, respect, sens de la propriété, etc.).
-Les relations dans le travail remplissent une fonction de socialisation secondaire et influencent la sociabilité des individus.
-Le travail contribue à définir la position sociale de l’individu et participe au phénomène de mobilité sociale. En dehors du monde du travail, la sociabilité se développe car on peut retrouver les mêmes personnes avec qui on travaille dans le même quartier.
On peut conclure que l’homme est effectivement un être sociable. Il n’existe que par le contact avec ses semblables, et que la socialisation est l’apprentissage de la vie en société, quel que soit l’environnement où l'Homme vit. Le travail n’est donc pas toujours un facteur d’intégration social, et par le processus d’intégration on acquiert des valeurs, des normes qui font de nous de bon citoyens qui vivent en homogénéité, sans problème.
[ Docteur Kadili, Président de la Fondation Tamkine, pour sa part, trouve dans cet article une ouverture sur de nouvelles perspectives: l'homme le sera t - il encore dans quelques années dans un monde de plus en plus virtuel où réalité virtuelle devient de plus en plus présente, envahissant tous les aspects de notre vie; où il n'est plus nécessaire de quitter son chez soi pour tout recevoir mêmes les choses les plus triviales; et à partir d'où nos avatars irons faire le travail pour nous, rencontrer nos "semblables", tenir des réunions, négocier, contracter, et pourquoi pas plaider devant des juges eux aussi représentés par leurs avatars dans des tribunaux faisant partie de ce monde META qui nous est proposé... ]
Rédigé par Aya Kamime, La Fondation Tamkine
#Tamkine_ensemble_nous_réussirons