Le tournage de la quatrième saison d'Emily in Paris devait débuter à la fin de l'été au début de l'automne... mais la grève des scénaristes hollywoodiens pourrait reporter le début du tournage dans la capitale française.
Porté par Lily Collins, le feuilleton raconte les tribulations professionnelles et amoureuses d'une jeune Américaine originaire de Chicago. Philippine Leroy-Beaulieu, qui joue le personnage de Sylvie Grateau, expliquait lors du festival de Cannes en mai dernier que la grève pourrait avoir des conséquences sur la production de la série. "On verra bien comment ça s'arrange!" disait-elle, confiante.
Une grève depuis début mai
Depuis début mai, les scénaristes de la Writers Guild of America sont en grève. Leur dernière grève, il y a quinze ans, avait mis à l'arrêt la production de nombreuses séries, dont beaucoup avaient vu leur saison écourtée ou retardée.
Les grévistes réclament auprès des studios une hausse de leur rémunération, des garanties minimales pour bénéficier d'un emploi stable et une plus grande part des bénéfices générés par l'essor du streaming.
Ils disent avoir du mal à vivre de leur métier, avec des salaires qui stagnent, voire baissent en raison de l'inflation, alors que leurs employeurs réalisent des bénéfices et augmentent les salaires de leurs dirigeants.
L'ODJ avec lapresse.ca
Porté par Lily Collins, le feuilleton raconte les tribulations professionnelles et amoureuses d'une jeune Américaine originaire de Chicago. Philippine Leroy-Beaulieu, qui joue le personnage de Sylvie Grateau, expliquait lors du festival de Cannes en mai dernier que la grève pourrait avoir des conséquences sur la production de la série. "On verra bien comment ça s'arrange!" disait-elle, confiante.
Une grève depuis début mai
Depuis début mai, les scénaristes de la Writers Guild of America sont en grève. Leur dernière grève, il y a quinze ans, avait mis à l'arrêt la production de nombreuses séries, dont beaucoup avaient vu leur saison écourtée ou retardée.
Les grévistes réclament auprès des studios une hausse de leur rémunération, des garanties minimales pour bénéficier d'un emploi stable et une plus grande part des bénéfices générés par l'essor du streaming.
Ils disent avoir du mal à vivre de leur métier, avec des salaires qui stagnent, voire baissent en raison de l'inflation, alors que leurs employeurs réalisent des bénéfices et augmentent les salaires de leurs dirigeants.
L'ODJ avec lapresse.ca