Le musée des beaux arts de Rouen a sorti de ses réserves quelques œuvres d’art d’origine ukrainiennes et on les a rassembler autour d’une des pièces maîtresses du musée, « Le Cheval majeur », de Marcel Duchamp.
« L’initiative est venue du musée », rappelle Laurence Renou, chargée de la culture au sein de la Métropole Rouen-Normandie. « Les conservateurs se sont demandé comment, à leur niveau, ils pouvaient symboliquement afficher leur soutien au peuple ukrainien, un peu comme on hisse un drapeau au fronton d’une mairie ou qu’on allume une bougie à sa fenêtre pour dire qu’on est là. »
L’idée principale a donc été de valoriser le travail d’artistes nés en Ukraine, Sur le mur, un texte de présentation explique la démarche du musée et donne quelques éléments sur le parcours de ces artistes. Cette présentation s’accompagne chaque mercredi d’une série de conférences consacrées à l’art ukrainien, en collaboration avec d’autres établissements culturels, notamment l’Institut national de l’histoire de l’art. « Ces conférences, données par des spécialistes réputés, sont filmées et sont mises en ligne afin de constituer un ensemble de témoignages qui montrent la richesse et la vitalité de l’art ukrainien, dont certains pans sont en danger aujourd’hui en raison de cette guerre et de sa violence. » explique Laurence Renou.
« L’initiative est venue du musée », rappelle Laurence Renou, chargée de la culture au sein de la Métropole Rouen-Normandie. « Les conservateurs se sont demandé comment, à leur niveau, ils pouvaient symboliquement afficher leur soutien au peuple ukrainien, un peu comme on hisse un drapeau au fronton d’une mairie ou qu’on allume une bougie à sa fenêtre pour dire qu’on est là. »
L’idée principale a donc été de valoriser le travail d’artistes nés en Ukraine, Sur le mur, un texte de présentation explique la démarche du musée et donne quelques éléments sur le parcours de ces artistes. Cette présentation s’accompagne chaque mercredi d’une série de conférences consacrées à l’art ukrainien, en collaboration avec d’autres établissements culturels, notamment l’Institut national de l’histoire de l’art. « Ces conférences, données par des spécialistes réputés, sont filmées et sont mises en ligne afin de constituer un ensemble de témoignages qui montrent la richesse et la vitalité de l’art ukrainien, dont certains pans sont en danger aujourd’hui en raison de cette guerre et de sa violence. » explique Laurence Renou.
L'ODJ radio avec leparisien.fr