L'informel constitue une part significative de l'économie dans de nombreux pays, y compris au Maroc. Les 34 milliards de dirhams (DH) éstimés illustrent les pertes fiscales colossales que subit l'État en raison des activités non déclarées ou échappant à tout cadre légal.
Ces pertes impactent directement les finances publiques en réduisant les ressources disponibles pour financer les infrastructures, les services sociaux, la santé ou l'éducation.
Le secteur informel, bien qu’il fournisse des opportunités économiques à de nombreuses personnes, représente également un défi majeur pour assurer une compétition équitable entre les entreprises formelles et réduire les inégalités économiques. Au-delà des pertes fiscales immédiates, l’existence d’un vaste secteur informel peut compromettre le développement socio-économique à long terme en limitant l’accès à des prestations sociales et à des droits pour ceux qui y travaillent.
Pour remédier à cette situation, des politiques incitatives et structurées visant à encourager l'inclusion dans l'économie formelle sont essentielles.
Ces pertes impactent directement les finances publiques en réduisant les ressources disponibles pour financer les infrastructures, les services sociaux, la santé ou l'éducation.
Le secteur informel, bien qu’il fournisse des opportunités économiques à de nombreuses personnes, représente également un défi majeur pour assurer une compétition équitable entre les entreprises formelles et réduire les inégalités économiques. Au-delà des pertes fiscales immédiates, l’existence d’un vaste secteur informel peut compromettre le développement socio-économique à long terme en limitant l’accès à des prestations sociales et à des droits pour ceux qui y travaillent.
Pour remédier à cette situation, des politiques incitatives et structurées visant à encourager l'inclusion dans l'économie formelle sont essentielles.