Parmi les sujets à l'ordre du jour, l'examen de la candidature du henné pour son inscription sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Cette initiative est soutenue par seize pays arabes, dont le Maroc, et est intitulée "Le henné : rituels, esthétique et pratiques sociales".
Le henné, plus qu'une simple teinture naturelle, est une tradition séculaire qui transcende les frontières culturelles et ethniques. Utilisé lors de cérémonies de mariage, de fêtes religieuses ou de simples occasions festives, il symbolise la joie et la célébration. Sa candidature à l'UNESCO reflète une reconnaissance de son importance culturelle et de son rôle dans le tissage du lien social au sein des communautés.
Au Moussem de Tan-Tan au Maroc, en juin 2019, plusieurs organisations de la société civile ont exprimé leur désir de voir cet art ancestral inscrit sur la Liste représentative. Leur appel a trouvé un écho favorable parmi les participants au festival, soulignant ainsi le caractère universel et intergénérationnel de cette pratique.
L'inscription du henné sur cette liste prestigieuse permettrait non seulement de préserver cette tradition, mais aussi de promouvoir la diversité des pratiques culturelles à travers le monde. Actuellement, la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité compte 611 éléments provenant de 140 États. Cette année, le Comité examinera 63 candidatures provenant de 90 pays, dont 58 visent cette liste spécifique.
La reconnaissance par l'UNESCO offrirait une visibilité internationale au henné et encouragerait sa transmission aux générations futures. Elle soulignerait également l'importance de sauvegarder les savoir-faire traditionnels qui constituent un patrimoine vivant pour les communautés du monde entier. Dans un contexte où la mondialisation tend souvent à uniformiser les cultures, cette démarche se présente comme un acte fort pour la préservation de la diversité culturelle.
Le henné, plus qu'une simple teinture naturelle, est une tradition séculaire qui transcende les frontières culturelles et ethniques. Utilisé lors de cérémonies de mariage, de fêtes religieuses ou de simples occasions festives, il symbolise la joie et la célébration. Sa candidature à l'UNESCO reflète une reconnaissance de son importance culturelle et de son rôle dans le tissage du lien social au sein des communautés.
Au Moussem de Tan-Tan au Maroc, en juin 2019, plusieurs organisations de la société civile ont exprimé leur désir de voir cet art ancestral inscrit sur la Liste représentative. Leur appel a trouvé un écho favorable parmi les participants au festival, soulignant ainsi le caractère universel et intergénérationnel de cette pratique.
L'inscription du henné sur cette liste prestigieuse permettrait non seulement de préserver cette tradition, mais aussi de promouvoir la diversité des pratiques culturelles à travers le monde. Actuellement, la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité compte 611 éléments provenant de 140 États. Cette année, le Comité examinera 63 candidatures provenant de 90 pays, dont 58 visent cette liste spécifique.
La reconnaissance par l'UNESCO offrirait une visibilité internationale au henné et encouragerait sa transmission aux générations futures. Elle soulignerait également l'importance de sauvegarder les savoir-faire traditionnels qui constituent un patrimoine vivant pour les communautés du monde entier. Dans un contexte où la mondialisation tend souvent à uniformiser les cultures, cette démarche se présente comme un acte fort pour la préservation de la diversité culturelle.