Lakjaa dévoile un plan pour combler le déficit et garantir la souveraineté financière
Lekjaa a souligné que la viabilité des finances publiques est une condition préalable au succès du chantier de la protection sociale. Il a expliqué que ce nouveau dialogue social va au-delà de simples négociations avec les syndicats, et vise à trouver des solutions efficaces pour améliorer le quotidien de la classe moyenne, en particulier face aux défis économiques actuels tels que l'inflation mondiale et la hausse des prix.
Le ministre a révélé que le gouvernement a alloué 9,89 milliards de dirhams pour soutenir cette catégorie de la population. Il a également insisté sur la nécessité de rétablir les équilibres macroéconomiques en réduisant le déficit budgétaire. Cette mesure a permis d'économiser 11 milliards de dirhams et de réduire la dette, préservant ainsi la souveraineté financière du Royaume.
Il a ajouté que le gouvernement a réussi, au cours des deux dernières années et demie, à trouver un équilibre entre les besoins de financement des projets de développement et le maintien de la stabilité financière. Ainsi, près de 100 milliards de dirhams supplémentaires ont été mobilisés entre 2021 et 2023, tandis que les recettes fiscales ont augmenté de 12,5 % par an, avec une baisse de la pression fiscale de 23 % à 21 %.
Ces ressources, a précisé Lekjaa, permettront de financer les dépenses supplémentaires, qui dépassent 90 milliards de dirhams, dont 40 milliards seront consacrés au chantier de la protection sociale et 45 milliards au dialogue social d'ici 2026.
Enfin, le ministre a conclu en soulignant que la viabilité des finances publiques est une responsabilité partagée entre le gouvernement et le Parlement. Elle est essentielle pour garantir le financement des projets et des politiques publiques, notamment dans le contexte des engagements du gouvernement en faveur de l'État social et du soutien à l'investissement.
Le ministre a révélé que le gouvernement a alloué 9,89 milliards de dirhams pour soutenir cette catégorie de la population. Il a également insisté sur la nécessité de rétablir les équilibres macroéconomiques en réduisant le déficit budgétaire. Cette mesure a permis d'économiser 11 milliards de dirhams et de réduire la dette, préservant ainsi la souveraineté financière du Royaume.
Il a ajouté que le gouvernement a réussi, au cours des deux dernières années et demie, à trouver un équilibre entre les besoins de financement des projets de développement et le maintien de la stabilité financière. Ainsi, près de 100 milliards de dirhams supplémentaires ont été mobilisés entre 2021 et 2023, tandis que les recettes fiscales ont augmenté de 12,5 % par an, avec une baisse de la pression fiscale de 23 % à 21 %.
Ces ressources, a précisé Lekjaa, permettront de financer les dépenses supplémentaires, qui dépassent 90 milliards de dirhams, dont 40 milliards seront consacrés au chantier de la protection sociale et 45 milliards au dialogue social d'ici 2026.
Enfin, le ministre a conclu en soulignant que la viabilité des finances publiques est une responsabilité partagée entre le gouvernement et le Parlement. Elle est essentielle pour garantir le financement des projets et des politiques publiques, notamment dans le contexte des engagements du gouvernement en faveur de l'État social et du soutien à l'investissement.