Une étude de la revue Nature suggère que rêvasser stimule la formation de nouveaux réseaux neuronaux, améliorant l'assimilation et le traitement des informations.
Des expériences sur des souris montrent que même en apparence inactives, leurs neurones restent actifs, suggérant une forme de "rêverie" essentielle à la plasticité cérébrale et à la mémorisation. Ces résultats ouvrent de nouvelles perspectives sur les bienfaits de la rêverie, y compris au travail.
Des expériences sur des souris montrent que même en apparence inactives, leurs neurones restent actifs, suggérant une forme de "rêverie" essentielle à la plasticité cérébrale et à la mémorisation. Ces résultats ouvrent de nouvelles perspectives sur les bienfaits de la rêverie, y compris au travail.