16 juillet 2024. Camp de Rabouni, siège du polisario au Sud-est algérien. L’heure est grave. Une centaine de mercenaires du polisario, appartenant à la « 1ère région militaire », rendent les armes.
La « guerre » consistant à servir de cibles aux drones marocains, pendant que Brahim Ghali et ses acolytes s’adonnent à leurs activités préférées : vol, détournement de l’aide humanitaire, trafic en tout genre…c’est fini !
C’est depuis le mois d’avril que la grogne des miliciens de la 1ère région militaire polisarienne monte crescendo. Motif de la mutinerie ? Leur commandant, Youssef Ahmed Salem Salem, est un voleur et un trafiquant de carburant, qu’il détourne au Sud de l’Algérie pour le revendre au Nord de la Mauritanie et qui laisse traîner des preuves de ses magouilles derrière lui.
Les miliciens sous ses ordres ont obtenu lesdites preuves incriminant leur chef et les ont présentées aux dirigeants du polisario… Un geste qui prouve la crédulité des miliciens polisariens, dont la seule véritable utilité est de servir de chair à canon.
Bien entendu, il n’était pas du tout question, pour les dirigeants du polisario, de prendre des mesures disciplinaires ou quelconque sanctions ou enclenchement de poursuites judiciaires contre le commandant voleur-trafiquant de la 1ère région militaire polisarienne, puisqu’ils s’adonnent tous aux mêmes activités illicites.
La « guerre » consistant à servir de cibles aux drones marocains, pendant que Brahim Ghali et ses acolytes s’adonnent à leurs activités préférées : vol, détournement de l’aide humanitaire, trafic en tout genre…c’est fini !
C’est depuis le mois d’avril que la grogne des miliciens de la 1ère région militaire polisarienne monte crescendo. Motif de la mutinerie ? Leur commandant, Youssef Ahmed Salem Salem, est un voleur et un trafiquant de carburant, qu’il détourne au Sud de l’Algérie pour le revendre au Nord de la Mauritanie et qui laisse traîner des preuves de ses magouilles derrière lui.
Les miliciens sous ses ordres ont obtenu lesdites preuves incriminant leur chef et les ont présentées aux dirigeants du polisario… Un geste qui prouve la crédulité des miliciens polisariens, dont la seule véritable utilité est de servir de chair à canon.
Bien entendu, il n’était pas du tout question, pour les dirigeants du polisario, de prendre des mesures disciplinaires ou quelconque sanctions ou enclenchement de poursuites judiciaires contre le commandant voleur-trafiquant de la 1ère région militaire polisarienne, puisqu’ils s’adonnent tous aux mêmes activités illicites.
Avancez ! Moi, je reste là…
Youssef Ahmed Salem Salem n’est que l’un des « quarante voleurs » qui pillent la caverne d’Ali Baba, généreusement et régulièrement garnie par les dons d’imbéciles gauchistes européens et d’une part des recettes des hydrocarbures revenant de droit au pauvre peuple algérien.
Il serait, d’ailleurs, intéressant d’exposer le profil de ce brigand, que la direction du polisario a préféré soutenir contre une centaine de ses miliciens, sachant que le polisario est d’abord et avant tout une milice.
Vous rappelez-vous d’un individu en treillis militaire, monté sur un véhicule dans les camps de Tindouf, en Algérie, annonçant à une foule de polisariens la reprise de la « lutte armée », suite à la déculottée infligée par les Forces Armées Royales aux mercenaires du polisario, au passage frontalier de Guergarat, en novembre 2020 ?
Il s’est avéré que Youssef Ahmed Salem Salem, commandant de la 1ère région militaire polisarienne, celui-là même qui haranguait les miliciens pour les inciter au combat, en sait autant sur les tactiques et stratégies militaires que son patron, Brahim Ghali, c’est-à-dire rien !
Comment ce voleur et trafiquant éprouvé a-t-il pu devenir commandant d’une région militaire ? Les miliciens à ses ordres n’ont toujours pas pu percer ce mystère.
Il serait, d’ailleurs, intéressant d’exposer le profil de ce brigand, que la direction du polisario a préféré soutenir contre une centaine de ses miliciens, sachant que le polisario est d’abord et avant tout une milice.
Vous rappelez-vous d’un individu en treillis militaire, monté sur un véhicule dans les camps de Tindouf, en Algérie, annonçant à une foule de polisariens la reprise de la « lutte armée », suite à la déculottée infligée par les Forces Armées Royales aux mercenaires du polisario, au passage frontalier de Guergarat, en novembre 2020 ?
Il s’est avéré que Youssef Ahmed Salem Salem, commandant de la 1ère région militaire polisarienne, celui-là même qui haranguait les miliciens pour les inciter au combat, en sait autant sur les tactiques et stratégies militaires que son patron, Brahim Ghali, c’est-à-dire rien !
Comment ce voleur et trafiquant éprouvé a-t-il pu devenir commandant d’une région militaire ? Les miliciens à ses ordres n’ont toujours pas pu percer ce mystère.
Décomposition à un stade avancé
Le polisario poursuit, donc, lentement mais sûrement, sa décomposition. Chacun des dirigeants militaires du polisario a ses propres hommes de main, toute tentative de procéder à l’arrestation de l’un d’entre eux entraînerait immanquablement un bain de sang dans les camps de Lahmada, dans le Sud algérien.
Signe de l’état d’effondrement avancé du polisario, même des hyènes comme Bachir Mustapha Sayed, frère du fondateur du polisario, tortionnaire et assassin, ainsi que Oubi Bouchraya Bachir, ex-représentant du polisario en Europe (poste qu’il a quitté après avoir été accusé de détournement de fonds) et actuel « ambassadeur » auprès de l’allié sud-africain, osent maintenant se présenter auprès des habitants des camps comme des « sages » (sic !), prêts à offrir leurs bons offices pour régler cette situation (et en profiter pour tenter de renverser Brahim Ghali).
Pendant ce temps, les habitants des camps de Tindouf crèvent de misère et de soif. Plus personne ne croit en la fable de l’indépendance.
Dans la « république des voleurs » à Lahmda, la racaille démolit systématiquement et consciencieusement les derniers vestiges du polisario.
« N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur » (Napoléon Bonaparte).
Signe de l’état d’effondrement avancé du polisario, même des hyènes comme Bachir Mustapha Sayed, frère du fondateur du polisario, tortionnaire et assassin, ainsi que Oubi Bouchraya Bachir, ex-représentant du polisario en Europe (poste qu’il a quitté après avoir été accusé de détournement de fonds) et actuel « ambassadeur » auprès de l’allié sud-africain, osent maintenant se présenter auprès des habitants des camps comme des « sages » (sic !), prêts à offrir leurs bons offices pour régler cette situation (et en profiter pour tenter de renverser Brahim Ghali).
Pendant ce temps, les habitants des camps de Tindouf crèvent de misère et de soif. Plus personne ne croit en la fable de l’indépendance.
Dans la « république des voleurs » à Lahmda, la racaille démolit systématiquement et consciencieusement les derniers vestiges du polisario.
« N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur » (Napoléon Bonaparte).