Une étude sur les contraceptifs oraux chez les femmes souligne la sous-représentation historique dans la recherche sur l'anxiété. Les résultats montrent des différences cérébrales, avec un volume de matière grise plus important lié à la peur chez les femmes que chez les hommes.
Les utilisatrices actuelles ont une épaisseur réduite dans une zone inhibant la peur, tandis que celles n'ayant jamais utilisé de contraceptifs hormonaux présentent une épaisseur plus prononcée.
Les utilisatrices actuelles ont une épaisseur réduite dans une zone inhibant la peur, tandis que celles n'ayant jamais utilisé de contraceptifs hormonaux présentent une épaisseur plus prononcée.