Une étude récente a montré que la moitié des nouveaux médicaments mis sur le marché américain et européen entre 2011 et 2020 n’a aucune valeur thérapeutique ajoutée.
Cela est dû au fait que le principe de la liberté du commerce s'applique au secteur pharmaceutique : actuellement, les autorités sanitaires ne peuvent pas légalement refuser une autorisation de mise sur le marché pour un médicament qui fait "à peu près aussi bien" qu'un médicament déjà sur le marché.
En conséquence, de nombreux nouveaux médicaments, soi-disant "innovants", n'apportent pas de véritable progrès pour les patients.
Cela est dû au fait que le principe de la liberté du commerce s'applique au secteur pharmaceutique : actuellement, les autorités sanitaires ne peuvent pas légalement refuser une autorisation de mise sur le marché pour un médicament qui fait "à peu près aussi bien" qu'un médicament déjà sur le marché.
En conséquence, de nombreux nouveaux médicaments, soi-disant "innovants", n'apportent pas de véritable progrès pour les patients.