Une étude suggère que la durée des règles chez les femmes peut influencer le risque de démence. Les résultats montrent que des menstruations plus longues et une ménopause tardive sont liées à un risque réduit (28 % et 24 % respectivement), tandis que des règles à un âge avancé ou une intervention chirurgicale reproductive sont associées à un risque accru (12 % et 8 %).
Ces observations indiquent un possible rôle protecteur des hormones féminines dans la démence, bien que le lien exact reste à comprendre.
Ces observations indiquent un possible rôle protecteur des hormones féminines dans la démence, bien que le lien exact reste à comprendre.