Selon des sources médiatiques, l’Algérie aurait exigé un paiement exorbitant de 40 millions de centimes à la famille de la victime en échange de la restitution de son fils. Cette demande déroutante peut être exécutée soit par la réouverture des frontières terrestres, une procédure habituelle, soit par le transport aérien du corps à travers la Tunisie ou la France.
De plus, l’Algérie a posé une condition troublante : la famille doit signer un document soutenant la version algérienne des événements, à savoir que leur fils est décédé par noyade, rejetant catégoriquement les allégations de tirs provenant de l’Algérie.
De plus, l’Algérie a posé une condition troublante : la famille doit signer un document soutenant la version algérienne des événements, à savoir que leur fils est décédé par noyade, rejetant catégoriquement les allégations de tirs provenant de l’Algérie.