Que reproche-t-on le plus au Maroc et aux Marocains ?
L’ouverture d’esprit ! Nos voisins proches et lointains, et pas uniquement à l’Est, se rendent compte que ces sacrés Marocains se débrouillent toujours pour tourner les difficultés en succès.
La culture du cannabis ? Non, les Marocains ne sont pas des narcotrafiquants. Leur cannabis, ils vont le cultiver dans le respect des normes écologiques et le céder légalement aux entreprises qui vont y apporter une valeur ajoutée.
Ce que le parti de l’Istiqlal a longtemps revendiqué va enfin se réaliser. Les agriculteurs du Rif qui vivotaient clandestinement de la culture du cannabis vont pouvoir exercer pleinement leurs droits de citoyens. Et même encaisser la plus-value qui va avec.
Vive la liberté ! Les Marocains pourront se présenter massivement, dans quelques mois, aux bureaux de vote pour sélectionner leurs représentants locaux et régionaux. A bas les loosers à l’esprit borné !
Place aux battants, ceux qui ont déjà fait leurs preuves, en maints postes de responsabilité, de leurs compétences et fibre social.
Le monde post-Covid appartient à ceux qui ont suffisamment d’éveil pour s’apercevoir que le monde change.
Et de la capacité d’adaptation, qui découle d’une bonne perception des réalités pour pouvoir performer.
Beau discours, n’est-ce pas ? Mais qu’en est-il de la réalité ? C’est aux Marocains de la forger selon leur volonté.
La réalité est forgée par les actions de chacun. Ceux qui exercent leurs devoirs citoyens y participent de plein droit.
Les flottants, entre espoir d’un avenir meilleur et enfermement volontaire et persistant dans les plaintes misérabilistes comme justification de la non-action, donc du non-être, ils n’ont de reproches à se faire qu’à eux-mêmes.
Le rôle de l’Etat ? Faire le gendarme, pardi ! Dans quelle langue faut-il expliquer que le respect des règles communément admises est primordial pour la démocratie, vital pour la liberté ?
Quand la guilde des grands possédants joue au plus fin, changeant les règles du jeu au gré des besoins de marionnettistes encore plus haut élevés, populairement, ça la fout mal.
Pour que le commun des Marocains y croie, les hors-jeu doivent nécessairement être sifflés.
Qui finance l’économie nationale ? Les retards de paiement interentreprises, c'est l’argent des uns (banquiers contraints) que d’autres (débiteurs autoproclamés sans versement d’agios) utilisent pour fluidifier leurs propres trésoreries.
Les TPE ne sont responsables des 423 milliards de Dhs ainsi cumulés qu’à hauteur de 21 %, les PME de 32% et les « grandes » entreprises de… 47 % !
C’est à se demander qui est vraiment « grand ».
Petits et moyens opérateurs économiques, sachez faire le bon choix et les règles du jeu seront respectées
La culture du cannabis ? Non, les Marocains ne sont pas des narcotrafiquants. Leur cannabis, ils vont le cultiver dans le respect des normes écologiques et le céder légalement aux entreprises qui vont y apporter une valeur ajoutée.
Ce que le parti de l’Istiqlal a longtemps revendiqué va enfin se réaliser. Les agriculteurs du Rif qui vivotaient clandestinement de la culture du cannabis vont pouvoir exercer pleinement leurs droits de citoyens. Et même encaisser la plus-value qui va avec.
Vive la liberté ! Les Marocains pourront se présenter massivement, dans quelques mois, aux bureaux de vote pour sélectionner leurs représentants locaux et régionaux. A bas les loosers à l’esprit borné !
Place aux battants, ceux qui ont déjà fait leurs preuves, en maints postes de responsabilité, de leurs compétences et fibre social.
Le monde post-Covid appartient à ceux qui ont suffisamment d’éveil pour s’apercevoir que le monde change.
Et de la capacité d’adaptation, qui découle d’une bonne perception des réalités pour pouvoir performer.
Beau discours, n’est-ce pas ? Mais qu’en est-il de la réalité ? C’est aux Marocains de la forger selon leur volonté.
La réalité est forgée par les actions de chacun. Ceux qui exercent leurs devoirs citoyens y participent de plein droit.
Les flottants, entre espoir d’un avenir meilleur et enfermement volontaire et persistant dans les plaintes misérabilistes comme justification de la non-action, donc du non-être, ils n’ont de reproches à se faire qu’à eux-mêmes.
Le rôle de l’Etat ? Faire le gendarme, pardi ! Dans quelle langue faut-il expliquer que le respect des règles communément admises est primordial pour la démocratie, vital pour la liberté ?
Quand la guilde des grands possédants joue au plus fin, changeant les règles du jeu au gré des besoins de marionnettistes encore plus haut élevés, populairement, ça la fout mal.
Pour que le commun des Marocains y croie, les hors-jeu doivent nécessairement être sifflés.
Qui finance l’économie nationale ? Les retards de paiement interentreprises, c'est l’argent des uns (banquiers contraints) que d’autres (débiteurs autoproclamés sans versement d’agios) utilisent pour fluidifier leurs propres trésoreries.
Les TPE ne sont responsables des 423 milliards de Dhs ainsi cumulés qu’à hauteur de 21 %, les PME de 32% et les « grandes » entreprises de… 47 % !
C’est à se demander qui est vraiment « grand ».
Petits et moyens opérateurs économiques, sachez faire le bon choix et les règles du jeu seront respectées
Magazine créé avec Madmagz.