La ville de Hadera est en état d’alerte après une attaque au couteau menée par un Palestinien originaire de la ville d’Umm al-Fahm, en territoire occupé. Cette action a déclenché une réponse militaire massive, avec le déploiement d'hélicoptères et la fermeture immédiate des écoles dans la région. Pour beaucoup, cet incident reflète le quotidien oppressant que subissent les Palestiniens vivant sous l’occupation israélienne.
Ahmad Jabarin, 36 ans, s'est déplacé à moto entre plusieurs sites dans la ville avant de porter plusieurs coups. Armé d'un couteau et d'une hache, Jabarin représente pour certains la figure de ceux qui, depuis des décennies, résistent face à l'apartheid israélien. Pour d’autres, son acte est une réponse désespérée à des décennies de colonisation et de déni des droits fondamentaux des Palestiniens.
L'armée sioniste, fidèle à sa politique de répression systématique, a rapidement réagi en déployant des hélicoptères, intensifiant une présence militaire déjà oppressante dans la région. Le maire de Hadera a ordonné la fermeture de toutes les écoles de la ville "jusqu’à nouvel ordre", une mesure qui reflète le climat de peur qu'Israël impose à ses citoyens dans le cadre de sa politique sécuritaire.
Cet incident intervient dans un contexte plus large de tensions exacerbées, où la violence et la répression ne sont que la conséquence d'un conflit non résolu, enraciné dans l'occupation et la colonisation. Les Palestiniens, privés de leurs droits et souvent contraints de vivre sous des conditions inhumaines, se tournent parfois vers des formes de résistance armée, que l'entité sioniste qualifie systématiquement de "terrorisme".
Cependant, ce que certains appellent "terrorisme" est, pour d’autres, l’expression ultime d'une lutte pour la liberté face à un système colonial qui continue de fragmenter les territoires palestiniens, démolir des maisons, et opprimer les populations. Alors que la communauté internationale reste largement silencieuse, les actions comme celle-ci rappellent que la question palestinienne demeure une plaie ouverte, et que la violence de l'État colonisateur ne fait qu'envenimer la situation.
La réponse militaire disproportionnée, avec le déploiement d’hélicoptères et la fermeture des écoles, montre une fois de plus la manière dont Israël instrumentalise la peur pour justifier son appareil répressif. Les Palestiniens, en revanche, continuent de revendiquer leur droit à la terre et à l'autodétermination, dans un combat qui dure depuis plus de sept décennies.
Ahmad Jabarin, 36 ans, s'est déplacé à moto entre plusieurs sites dans la ville avant de porter plusieurs coups. Armé d'un couteau et d'une hache, Jabarin représente pour certains la figure de ceux qui, depuis des décennies, résistent face à l'apartheid israélien. Pour d’autres, son acte est une réponse désespérée à des décennies de colonisation et de déni des droits fondamentaux des Palestiniens.
L'armée sioniste, fidèle à sa politique de répression systématique, a rapidement réagi en déployant des hélicoptères, intensifiant une présence militaire déjà oppressante dans la région. Le maire de Hadera a ordonné la fermeture de toutes les écoles de la ville "jusqu’à nouvel ordre", une mesure qui reflète le climat de peur qu'Israël impose à ses citoyens dans le cadre de sa politique sécuritaire.
Cet incident intervient dans un contexte plus large de tensions exacerbées, où la violence et la répression ne sont que la conséquence d'un conflit non résolu, enraciné dans l'occupation et la colonisation. Les Palestiniens, privés de leurs droits et souvent contraints de vivre sous des conditions inhumaines, se tournent parfois vers des formes de résistance armée, que l'entité sioniste qualifie systématiquement de "terrorisme".
Cependant, ce que certains appellent "terrorisme" est, pour d’autres, l’expression ultime d'une lutte pour la liberté face à un système colonial qui continue de fragmenter les territoires palestiniens, démolir des maisons, et opprimer les populations. Alors que la communauté internationale reste largement silencieuse, les actions comme celle-ci rappellent que la question palestinienne demeure une plaie ouverte, et que la violence de l'État colonisateur ne fait qu'envenimer la situation.
La réponse militaire disproportionnée, avec le déploiement d’hélicoptères et la fermeture des écoles, montre une fois de plus la manière dont Israël instrumentalise la peur pour justifier son appareil répressif. Les Palestiniens, en revanche, continuent de revendiquer leur droit à la terre et à l'autodétermination, dans un combat qui dure depuis plus de sept décennies.