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Quand Taboune joue (Sans le Savoir) pour la diplomatie Marocaine
Derrière les lourdes portes de certaines chancelleries, une rumeur amusante se propage : et si Abdelmadjid Tebboune, le président algérien, travaillait secrètement pour… le Maroc ? Cette hypothèse, aussi ironique que surprenante, repose sur une série d’actions et de déclarations qui semblent systématiquement servir les intérêts de Rabat.
Depuis son arrivée au pouvoir, chaque initiative de Tebboune paraît offrir un avantage indirect à la diplomatie marocaine. Loin d’adopter une position de neutralité ou de dialogue, il s’est lancé dans une surenchère verbale qui, au lieu de fragiliser Rabat, renforce sa position. Entre ses discours agressifs et ses décisions parfois déconcertantes, Tebboune contribue – sans doute malgré lui – à créer un climat favorable à la stratégie diplomatique marocaine.
Prenons, par exemple, ses récentes déclarations sur le Sahara Marocain. Alors que Rabat adopte une politique de développement local et de reconnaissance internationale, Tebboune enchaîne les critiques frontales. Le résultat ? Un appui croissant de la communauté internationale au Maroc, qui semble se lasser des positions intransigeantes d’Alger. Si l’objectif était d’affaiblir la position marocaine, la stratégie semble bien inefficace !
Les observateurs marocains, pour leur part, n’ont même plus besoin de contre-attaquer. Chaque mot de Tebboune fait le travail pour eux, dressant le portrait d’un voisin inflexible qui alimente davantage de sympathie pour le Maroc. En témoigne l’approfondissement des relations entre Rabat et Paris mais aussi avec de nombreux pays africains et arabes.
Et que dire de ses choix économiques ? Alors que l’Algérie cherche à diversifier son économie, chaque décision politique sape la confiance des investisseurs. En parallèle, le Maroc, lui, attire de plus en plus de partenaires étrangers. On pourrait croire que Tebboune, dans un élan involontaire, pousse les investisseurs algériens vers les rives atlantiques de Casablanca !
Alors, Tebboune, l'agent marocain infiltré en Algérie ? Bien sûr, cette hypothèse prête à sourire. Mais il faut bien admettre que chaque initiative du président algérien semble ajouter une pierre à l’édifice diplomatique marocain. Ironie du sort ou simple maladresse stratégique ? La question reste posée, même si certains rient sous cape en se demandant si le président algérien ne serait pas, en fait, le meilleur allié de Rabat.
Depuis son arrivée au pouvoir, chaque initiative de Tebboune paraît offrir un avantage indirect à la diplomatie marocaine. Loin d’adopter une position de neutralité ou de dialogue, il s’est lancé dans une surenchère verbale qui, au lieu de fragiliser Rabat, renforce sa position. Entre ses discours agressifs et ses décisions parfois déconcertantes, Tebboune contribue – sans doute malgré lui – à créer un climat favorable à la stratégie diplomatique marocaine.
Prenons, par exemple, ses récentes déclarations sur le Sahara Marocain. Alors que Rabat adopte une politique de développement local et de reconnaissance internationale, Tebboune enchaîne les critiques frontales. Le résultat ? Un appui croissant de la communauté internationale au Maroc, qui semble se lasser des positions intransigeantes d’Alger. Si l’objectif était d’affaiblir la position marocaine, la stratégie semble bien inefficace !
Les observateurs marocains, pour leur part, n’ont même plus besoin de contre-attaquer. Chaque mot de Tebboune fait le travail pour eux, dressant le portrait d’un voisin inflexible qui alimente davantage de sympathie pour le Maroc. En témoigne l’approfondissement des relations entre Rabat et Paris mais aussi avec de nombreux pays africains et arabes.
Et que dire de ses choix économiques ? Alors que l’Algérie cherche à diversifier son économie, chaque décision politique sape la confiance des investisseurs. En parallèle, le Maroc, lui, attire de plus en plus de partenaires étrangers. On pourrait croire que Tebboune, dans un élan involontaire, pousse les investisseurs algériens vers les rives atlantiques de Casablanca !
Alors, Tebboune, l'agent marocain infiltré en Algérie ? Bien sûr, cette hypothèse prête à sourire. Mais il faut bien admettre que chaque initiative du président algérien semble ajouter une pierre à l’édifice diplomatique marocain. Ironie du sort ou simple maladresse stratégique ? La question reste posée, même si certains rient sous cape en se demandant si le président algérien ne serait pas, en fait, le meilleur allié de Rabat.