La Chine, où la pandémie a été détectée pour la première fois fin 2019, a largement éradiqué la maladie en recourant à des mesures très strictes de dépistage, de traçage, de confinement et de vaccination.
Ses frontières ont été pratiquement fermées dès mars 2020 et les vols internationaux drastiquement réduits.
Afin d'accueillir les 3.000 athlètes et leur personnel de soutien pour les JO d'hiver (4-20 février), une bulle sanitaire a été mise en place, pour éviter tout contact entre les personnes en provenance de l'étranger et la population locale en dehors de cette zone.
Mardi, cette "boucle fermée" a été officiellement instituée, avant l'arrivée des premiers participants étrangers. Des barrières tenaient les passants à bonne distance des installations prévues pour les Jeux, comme le "Nid d'oiseau", le stade olympique où se déroulera la cérémonie d'ouverture.
Tous les participants étrangers doivent être vaccinés, les autres étant soumis à une quarantaine de 21 jours.
Les athlètes et le personnel chinois à l'intérieur de la bulle (volontaires, chauffeurs, cuisiniers...) n'en sortiront pour certains qu'après les Jeux paralympiques (4 au 13 mars), après une période de quarantaine.
Les spectateurs (seules seront autorisées les personnes résidant en Chine) n'entreront pas dans la bulle.
Lorsqu'ils se déplaceront d'un site à un autre, les participants étrangers resteront séparés de la population locale, avec par exemple des wagons réservés dans le train à grande vitesse conduisant aux pistes de ski.
Lodj avec AFP
Ses frontières ont été pratiquement fermées dès mars 2020 et les vols internationaux drastiquement réduits.
Afin d'accueillir les 3.000 athlètes et leur personnel de soutien pour les JO d'hiver (4-20 février), une bulle sanitaire a été mise en place, pour éviter tout contact entre les personnes en provenance de l'étranger et la population locale en dehors de cette zone.
Mardi, cette "boucle fermée" a été officiellement instituée, avant l'arrivée des premiers participants étrangers. Des barrières tenaient les passants à bonne distance des installations prévues pour les Jeux, comme le "Nid d'oiseau", le stade olympique où se déroulera la cérémonie d'ouverture.
"A l'intérieur de la boucle fermée, nous allons mettre en place des mesures sanitaires très strictes, dont des tests quotidiens de dépistage du Covid, pour s'assurer que les cas de contamination sont rapidement détectés", a expliqué à l'AFP Zhao Weidong, responsable de la communication du comité d'organisation.
Tous les participants étrangers doivent être vaccinés, les autres étant soumis à une quarantaine de 21 jours.
"Nous recommandons aussi fortement de recevoir une dose de rappel", a déclaré M. Zhao lors d'un entretien avec l'AFP avant la mise en place de la bulle.
"Nous surveillons de près le nouveau variant Omicron et son impact mondial", a-t-il ajouté, précisant être en étroite communication avec le Comité international olympique (CIO) "pour s'assurer qu'il y aura des marges de manoeuvre dans les contre-mesures en fonction de la situation épidémique".
Les athlètes et le personnel chinois à l'intérieur de la bulle (volontaires, chauffeurs, cuisiniers...) n'en sortiront pour certains qu'après les Jeux paralympiques (4 au 13 mars), après une période de quarantaine.
Les spectateurs (seules seront autorisées les personnes résidant en Chine) n'entreront pas dans la bulle.
Lorsqu'ils se déplaceront d'un site à un autre, les participants étrangers resteront séparés de la population locale, avec par exemple des wagons réservés dans le train à grande vitesse conduisant aux pistes de ski.
Lodj avec AFP