Quand la réputation est en jeu :
Cette situation délicate soulève des questions sur l'intégrité des données commerciales et met en lumière les pratiques douteuses qui pourraient entacher la réputation de la marque.
Selon une plainte déposée devant le tribunal fédéral de Chicago, des concessionnaires tels que Napleton Aurora Imports affirment avoir été contraints de « gonfler artificiellement » leurs ventes pour répondre à des quotas imposés par Hyundai. Un directeur des ventes d'une concession a révélé que la pression était telle que les concessionnaires devaient déclarer des invendus comme vendus, avant d'annuler ces transactions le mois suivant. Ce système aurait favorisé ceux qui se pliaient aux exigences, tandis que ceux qui refusaient étaient désavantagés, se voyant privés de remises ou confrontés à des stocks limités.
Les accusations ne s'arrêtent pas là. Les plaignants soutiennent que ce « programme secret » était appliqué à l'ensemble des concessionnaires américains, ce qui soulève des préoccupations sur la transparence des chiffres publiés par Hyundai. En réponse à ces allégations, la firme a demandé à Napleton de suspendre son action en justice pour mener une enquête interne, mais ce dernier a refusé. Michael Stewart, porte-parole de Hyundai aux États-Unis, a affirmé que la société ne tolérerait aucune falsification et qu'une enquête avait été lancée pour rectifier la situation.
Selon une plainte déposée devant le tribunal fédéral de Chicago, des concessionnaires tels que Napleton Aurora Imports affirment avoir été contraints de « gonfler artificiellement » leurs ventes pour répondre à des quotas imposés par Hyundai. Un directeur des ventes d'une concession a révélé que la pression était telle que les concessionnaires devaient déclarer des invendus comme vendus, avant d'annuler ces transactions le mois suivant. Ce système aurait favorisé ceux qui se pliaient aux exigences, tandis que ceux qui refusaient étaient désavantagés, se voyant privés de remises ou confrontés à des stocks limités.
Les accusations ne s'arrêtent pas là. Les plaignants soutiennent que ce « programme secret » était appliqué à l'ensemble des concessionnaires américains, ce qui soulève des préoccupations sur la transparence des chiffres publiés par Hyundai. En réponse à ces allégations, la firme a demandé à Napleton de suspendre son action en justice pour mener une enquête interne, mais ce dernier a refusé. Michael Stewart, porte-parole de Hyundai aux États-Unis, a affirmé que la société ne tolérerait aucune falsification et qu'une enquête avait été lancée pour rectifier la situation.