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Honte à notre service public .mp3 (4.42 Mo)
Sans doute faut-il donner un tour de vis à ces dérèglements qui gangrènent notre société. Cette permissivité sitôt muée en impassibilité a de quoi vous faire tomber à la renverse. On peine à saisir de par l’esprit, comment une tare puisse aisément prendre sur notre quotidien, s’immiscer dans nos colères, jusqu’en faire partie intégrante, pour ne pas être levée dans des délais qui se respectent.
Tout porte à croire que notre service public soit condamnée à la mauvaise manie. Une manie, qui, sous peu, virera en essence. Si la chose n’est pas déjà consommée…Notre service public fait objet de plainte, pour ne pas dire invectives, injures, de foudres appelées de par l’entremise d’invocations pieuses, ou autres, temporelles.
Le marocain ne porte plus sur ses humeurs de ces visages moroses, adeptes de la bouderie, fous de grimaces, et de tics à vous essorer votre linge, de ces visages, comme acquis de force, mélangés avec de l’aigre et du superflu, qui emplissent, embarrassent nos bureaux publics jusqu’à déborder de fiel et de mauvaises conduites.
De beaucoup sont prêts à vous faire le pari, à mettre sur la balance père et mère, si vous daignez leur mettre rien qu’en mots, mais sous nez, un assemblage encensant d’un témoignage citoyen, ne serait-ce que d’une seule âme qui vive. Un témoignage qui daignerait s’aventurer sur le vocabulaire de la satisfaction ou de la gratitude vis-à-vis du service public. Le marocain semble, à tout le moins, tenir en horreur, de ces prestations qui lui reviennent de droit, dispensées dans la mauvaise humeur.
Tout porte à croire que notre service public soit condamnée à la mauvaise manie. Une manie, qui, sous peu, virera en essence. Si la chose n’est pas déjà consommée…Notre service public fait objet de plainte, pour ne pas dire invectives, injures, de foudres appelées de par l’entremise d’invocations pieuses, ou autres, temporelles.
Le marocain ne porte plus sur ses humeurs de ces visages moroses, adeptes de la bouderie, fous de grimaces, et de tics à vous essorer votre linge, de ces visages, comme acquis de force, mélangés avec de l’aigre et du superflu, qui emplissent, embarrassent nos bureaux publics jusqu’à déborder de fiel et de mauvaises conduites.
De beaucoup sont prêts à vous faire le pari, à mettre sur la balance père et mère, si vous daignez leur mettre rien qu’en mots, mais sous nez, un assemblage encensant d’un témoignage citoyen, ne serait-ce que d’une seule âme qui vive. Un témoignage qui daignerait s’aventurer sur le vocabulaire de la satisfaction ou de la gratitude vis-à-vis du service public. Le marocain semble, à tout le moins, tenir en horreur, de ces prestations qui lui reviennent de droit, dispensées dans la mauvaise humeur.
D’abord citoyen, puis contribuable, celui-ci s’offusque de l’absence de tact qui règne dans nos administrations. Souvent entend-on dire de par des bouches vexées par une discourtoisie, une ringardise de service, que nombre de fonctionnaires, et nous nous tromperons pas de beaucoup si nous les mettons tous dans la même colère, une colère qui ne peut se saisir que d’une onomatopée primaire pour cracher son venin.
Souvent nous vient à l’oreille donc, de par nombre de bouches concitoyennes, que ces fonctionnaires qui ne jurent que par la disgrâce, et la laideur du propos, se croiraient chez eux, et, c’est comme qui dirait, qu’on viendrait empiéter sur leur confort du dedans.
Que ce laisser-aller où ils végètent, que cette mine mauvaise où ils s’empêtrent, nous dirait implicitement qu’ils seraient les maitres des lieux, et qu’ils pourraient vous traiter comme la dernière des vermines, et c’est selon leurs humeurs. Certains, de ceux navrés de ce traitement dénigrant, soumettent à votre attention l’idée d’un système de notation qui aiderait à qualifier le service rendu par untel.
S’en suivent de près de ces sanctions qui devraient tomber et vite pour sévir contre ces insanités. Des sanctions qui ne se cantonnent pas à passer un savon au coupable d’indélicatesse, mais de le destituer, s’il le faut, et sans tarder, de sa fonction imméritée. À quand une formation aux bonnes manières décernée à nos grincheux ?
Souvent nous vient à l’oreille donc, de par nombre de bouches concitoyennes, que ces fonctionnaires qui ne jurent que par la disgrâce, et la laideur du propos, se croiraient chez eux, et, c’est comme qui dirait, qu’on viendrait empiéter sur leur confort du dedans.
Que ce laisser-aller où ils végètent, que cette mine mauvaise où ils s’empêtrent, nous dirait implicitement qu’ils seraient les maitres des lieux, et qu’ils pourraient vous traiter comme la dernière des vermines, et c’est selon leurs humeurs. Certains, de ceux navrés de ce traitement dénigrant, soumettent à votre attention l’idée d’un système de notation qui aiderait à qualifier le service rendu par untel.
S’en suivent de près de ces sanctions qui devraient tomber et vite pour sévir contre ces insanités. Des sanctions qui ne se cantonnent pas à passer un savon au coupable d’indélicatesse, mais de le destituer, s’il le faut, et sans tarder, de sa fonction imméritée. À quand une formation aux bonnes manières décernée à nos grincheux ?