Hier encore, dans l'ombre des mémoires,
Le Maroc se parait de ses histoires,
Traditions et modernité en quête,
Dans le cœur, un passé qui nous guette.

Dans les rues, résonnent les échos lointains,
De l'époque où tout semblait si certain,
Nostalgie, douce amie, en nos pensées,
Rappelle un temps, hélas, trop vite passé.

Au Maroc, le passé tient chaud au cœur,
Traditions, valeurs, une douceur,
Solidarité, famille, unis,
Contraste avec notre temps, aujourd'hui.

La littérature, musique, nos guides,
Voyageant à travers temps et rides,
Éric Neuhoff, en mots, peint le passé,
Dans ses lignes, nos souvenirs tracés.

Nass El Ghiwane, Belkhayat, voix d'or,
Leur musique, un trésor, un décor,
Évoquant la chaleur d'antan, si forte,
Dans leurs mélodies, le temps se transporte.

Mais gare à l'idéalisation,
Du passé, une douce illusion,
Progrès, technologie, éducation,
Ne doivent pas être mis en question.

Le passé, glorifié, peut aveugler,
Les défis d'aujourd'hui, les négliger,
Équilibre entre héritage et progrès,
Pour avancer, sans jamais oublier.

Nostalgie, parfois, comédie humaine,
Nos ancêtres, dans un monde sans peine,
Rire de cette vision si parfaite,
Oubliant leurs luttes, leurs conquêtes.

Mais certains, dans l'ombre, tordent le passé,
Théories, récits, tout est mélangé,
Manipulant l'histoire, semant la peur,
Divisant les cœurs, créant le malheur.

Regardons vers l'avenir, avec espoir,
Le passé, un guide, mais il est tard,
Apprenons de nos erreurs, nos joies,
Pour construire un futur, droit et droit.

La nostalgie, reflet d'une transition,
Entre respect des anciens, innovation,
Médias, culture, en discussion,
L'identité marocaine, une fusion.

Hier encore, Maroc, terre de rêves,
Aujourd'hui, un futur qui s'élève,
Dans ce mélange de temps et d'espace,
Le Maroc avance, avec grâce.