Hannah Rae Armstrong et la manipulation d’un conflit historique : Une tentative grossière de désinformation
Il est des textes qui, sous couvert d’une analyse soi-disant pragmatique, se révèlent être des exercices de manipulation grossiers. L’article de Hannah Rae Armstrong publié par Foreign Affairs sur la partition du Sahara occidental (Marocain) en est un parfait exemple. Déjà, la simple prémisse de son argumentaire trahit un parti pris évident : la tentative de présenter le Maroc comme un acteur intransigeant et illégitime, tout en minimisant la réalité du soutien actif de l’Algérie au Polisario. Ce texte, loin d'être une analyse neutre, s'inscrit dans une entreprise de désinformation et de pression médiatique qui ne trompera que les lecteurs les moins avertis.
Dès les premières lignes, Armstrong adopte un ton tendancieux. Elle décrit le Sahara occidental comme un territoire "contesté", ignorant d’emblée les réalités historiques et juridiques qui confirment son appartenance au Maroc. Sa rhétorique, qui présente le Front Polisario comme "le représentant légitime des Sahraouis", fait fi des évolutions diplomatiques récentes, notamment la reconnaissance croissante par des puissances majeures de la souveraineté marocaine sur cette région. En revanche, l’article omet soigneusement de mentionner l'implication de l’Algérie, à la fois sur le plan militaire et diplomatique, dans l’entretien de ce conflit.
Ce parti pris est d’autant plus flagrant qu’Armstrong tente de présenter la proposition de partition comme une alternative "raisonnable", quand il s’agit en réalité d’une manœuvre visant à légitimer les revendications d’un mouvement ultra minoritaire, séparatiste et marginalisé.
L’article regorge d’erreurs volontaires destinées à dénaturer les faits historiques. Armstrong prétend que le Maroc "occupe" le Sahara occidental depuis les Accords de Madrid de 1975, en escamotant le fait que ce territoire a toujours fait partie de l’espace historique marocain avant l’occupation espagnole. En réalité, la Marche Verte et la récupération de cette région ne sont que la suite logique de la fin du colonialisme. En revanche, elle passe sous silence la répression exercée par le Polisario sur les réfugiés sahraouis en Algérie et l’absence totale de démocratie dans ses camps.
Elle omet également de rappeler que le "mur de sable" construit par le Maroc n’est pas une simple barrière militaire, mais une ligne de sécurité visant à protéger la population sahraouie des incursions terroristes et des attaques du Polisario, soutenu par l’Algérie. Le Maroc, loin d’être un acteur belliqueux, a toujours défendu une solution pacifique, comme en témoigne son plan d’autonomie, salué par la communauté internationale.
L’un des aspects les plus troublants de cet article est l’effort d’Armstrong pour créer un climat alarmiste, en prétendant que le "conflit gelé" du Sahara occidental est sur le point de s’embraser. Elle se livre à des parallèles hasardeux avec d’autres conflits internationaux, comme celui du Haut-Karabakh, dans le but d’alimenter un climat de tension artificielle. En réalité, le Maroc a obtenu des soutiens diplomatiques clairs, notamment des États-Unis, de la France et de l’Espagne, et a multiplié les initiatives économiques et sociales pour intégrer pleinement cette région à son développement.
Elle passe aussi sous silence le fait que le Polisario, en perte de vitesse et de soutien international, se tourne de plus en plus vers des actions de harcèlement militaire, mettant en danger la stabilité de la région. Plutôt que de dénoncer cette stratégie, Armstrong préfère suggérer une "partition" qui n’est rien d’autre qu’un prétexte pour accorder une reconnaissance imméritée à un groupe séparatiste sans légitimité populaire.
Enfin, la conclusion de l’article est édifiante : l’auteure appelle à ce que les États-Unis usent de leur influence pour forcer le Maroc à accepter une solution inacceptable. En d’autres termes, Armstrong préconise une décision imposée de l’extérieur, sans considération pour la volonté des populations concernées. Cette posture est en contradiction totale avec les principes du droit international, qui prône des solutions négociées et respectueuses des souverainetés nationales.
En somme, loin d’apporter une contribution constructive au débat, cet article illustre un exercice de désinformation, où la mauvaise foi le dispute à l’incompétence. Il est essentiel de dénoncer de telles tentatives de manipulation de l’opinion, qui, sous prétexte d’analyses stratégiques, visent en réalité à servir des intérêts hostiles au Maroc et à sa souveraineté. Loin de convaincre, cette tentative de légitimer une solution biaisée ne fait que révéler l’alignement flagrant de son auteure sur l’agenda algérien.
Mais alors, Hannah Rae Armstrong, pour qui roulez-vous ? Qui êtes-vous pour prétendre imposer aux Marocains un compromis qu’ils rejettent massivement ? Et surtout, d’où parlez-vous, pour vous arroger le droit de réécrire l’Histoire au service d’intérêts étrangers ?
Dès les premières lignes, Armstrong adopte un ton tendancieux. Elle décrit le Sahara occidental comme un territoire "contesté", ignorant d’emblée les réalités historiques et juridiques qui confirment son appartenance au Maroc. Sa rhétorique, qui présente le Front Polisario comme "le représentant légitime des Sahraouis", fait fi des évolutions diplomatiques récentes, notamment la reconnaissance croissante par des puissances majeures de la souveraineté marocaine sur cette région. En revanche, l’article omet soigneusement de mentionner l'implication de l’Algérie, à la fois sur le plan militaire et diplomatique, dans l’entretien de ce conflit.
Ce parti pris est d’autant plus flagrant qu’Armstrong tente de présenter la proposition de partition comme une alternative "raisonnable", quand il s’agit en réalité d’une manœuvre visant à légitimer les revendications d’un mouvement ultra minoritaire, séparatiste et marginalisé.
L’article regorge d’erreurs volontaires destinées à dénaturer les faits historiques. Armstrong prétend que le Maroc "occupe" le Sahara occidental depuis les Accords de Madrid de 1975, en escamotant le fait que ce territoire a toujours fait partie de l’espace historique marocain avant l’occupation espagnole. En réalité, la Marche Verte et la récupération de cette région ne sont que la suite logique de la fin du colonialisme. En revanche, elle passe sous silence la répression exercée par le Polisario sur les réfugiés sahraouis en Algérie et l’absence totale de démocratie dans ses camps.
Elle omet également de rappeler que le "mur de sable" construit par le Maroc n’est pas une simple barrière militaire, mais une ligne de sécurité visant à protéger la population sahraouie des incursions terroristes et des attaques du Polisario, soutenu par l’Algérie. Le Maroc, loin d’être un acteur belliqueux, a toujours défendu une solution pacifique, comme en témoigne son plan d’autonomie, salué par la communauté internationale.
L’un des aspects les plus troublants de cet article est l’effort d’Armstrong pour créer un climat alarmiste, en prétendant que le "conflit gelé" du Sahara occidental est sur le point de s’embraser. Elle se livre à des parallèles hasardeux avec d’autres conflits internationaux, comme celui du Haut-Karabakh, dans le but d’alimenter un climat de tension artificielle. En réalité, le Maroc a obtenu des soutiens diplomatiques clairs, notamment des États-Unis, de la France et de l’Espagne, et a multiplié les initiatives économiques et sociales pour intégrer pleinement cette région à son développement.
Elle passe aussi sous silence le fait que le Polisario, en perte de vitesse et de soutien international, se tourne de plus en plus vers des actions de harcèlement militaire, mettant en danger la stabilité de la région. Plutôt que de dénoncer cette stratégie, Armstrong préfère suggérer une "partition" qui n’est rien d’autre qu’un prétexte pour accorder une reconnaissance imméritée à un groupe séparatiste sans légitimité populaire.
Enfin, la conclusion de l’article est édifiante : l’auteure appelle à ce que les États-Unis usent de leur influence pour forcer le Maroc à accepter une solution inacceptable. En d’autres termes, Armstrong préconise une décision imposée de l’extérieur, sans considération pour la volonté des populations concernées. Cette posture est en contradiction totale avec les principes du droit international, qui prône des solutions négociées et respectueuses des souverainetés nationales.
En somme, loin d’apporter une contribution constructive au débat, cet article illustre un exercice de désinformation, où la mauvaise foi le dispute à l’incompétence. Il est essentiel de dénoncer de telles tentatives de manipulation de l’opinion, qui, sous prétexte d’analyses stratégiques, visent en réalité à servir des intérêts hostiles au Maroc et à sa souveraineté. Loin de convaincre, cette tentative de légitimer une solution biaisée ne fait que révéler l’alignement flagrant de son auteure sur l’agenda algérien.
Mais alors, Hannah Rae Armstrong, pour qui roulez-vous ? Qui êtes-vous pour prétendre imposer aux Marocains un compromis qu’ils rejettent massivement ? Et surtout, d’où parlez-vous, pour vous arroger le droit de réécrire l’Histoire au service d’intérêts étrangers ?