Le propriétaire du club de football subit un gel de ses avoirs, une interdiction de transactions avec des particuliers et des entreprises britanniques et une interdiction de voyager.
Les autres oligarques visés par ces sanctions sont le directeur général du géant pétrolier russe Rosneft Igor Setchine, le président de la banque VTB -la deuxième plus grosse banque de Russie- Andreï Kostin, le PDG de la société énergétique Gazprom, Alexeï Miller, le président du poids lourd du pétrole et du gaz Transneft, Nikolai Tokarev et le président du conseil d'administration de Bank Rossiya Dmitri Lebedev.
Ces sanctions s'inscrivent dans une série de mesures de représailles prises par le gouvernement britanniques pour toucher l'économie russe. Le Royaume-Uni a déjà sanctionné plus de 200 des personnes, entités et filiales les plus importantes de Russie depuis l'invasion de l'Ukraine le 24 février.
LODJ avec AFP
Le gouvernement précise que "compte tenu de l'impact significatif que les sanctions d'aujourd'hui auraient sur le club de football de Chelsea et de leurs répercussions potentielles, le gouvernement a publié ce matin une licence autorisant la poursuite d'un certain nombre d'activités liées au football à Chelsea".
"Cela inclut les autorisations pour le club de continuer à jouer des matchs et d'autres activités liées au football, ce qui protégera à son tour la Premier League, la pyramide du football au sens large, les supporters fidèles et d'autres clubs", ajoute le gouvernement.
Les autres oligarques visés par ces sanctions sont le directeur général du géant pétrolier russe Rosneft Igor Setchine, le président de la banque VTB -la deuxième plus grosse banque de Russie- Andreï Kostin, le PDG de la société énergétique Gazprom, Alexeï Miller, le président du poids lourd du pétrole et du gaz Transneft, Nikolai Tokarev et le président du conseil d'administration de Bank Rossiya Dmitri Lebedev.
"Les sanctions d'aujourd'hui montrent une fois de plus que les oligarques et les kleptocrates n'ont pas leur place dans notre économie ou notre société. Avec leurs liens étroits avec Poutine, ils sont complices de son agression", a déclaré dans un communiqué la ministre des Affaires étrangères Liz Truss à propos de l'invasion russe de l'Ukraine.
Ces sanctions s'inscrivent dans une série de mesures de représailles prises par le gouvernement britanniques pour toucher l'économie russe. Le Royaume-Uni a déjà sanctionné plus de 200 des personnes, entités et filiales les plus importantes de Russie depuis l'invasion de l'Ukraine le 24 février.
LODJ avec AFP