4,6 milliards d'euros :
L'impact de cette décision pourrait se faire sentir dans les ventes de voitures électriques, qui peinent déjà à décoller en Italie. Si le projet de loi proposé est adopté par le Parlement, les incitations à l'achat de véhicules électriques et les aides à l'industrie seraient drastiquement réduites, passant de 762 millions d'euros en 2025 à seulement 200 millions d'euros par an entre 2025 et 2030. Une telle réduction risque non seulement de freiner la transition vers une mobilité plus verte, mais aussi d'accroître les tensions entre le gouvernement et des acteurs majeurs comme Stellantis, qui s'inquiètent de la pérennité du marché.
Adolfo Urso, le ministre de l'Industrie, a tenté de rassurer en affirmant que des efforts seraient faits pour soutenir la chaîne d'approvisionnement automobile. Cependant, les consommateurs pourraient se retrouver sans aides pour passer à l'électrique dès 2025. Dans un contexte où l'Italie est déjà l'un des pays européens les moins généreux en matière d'incitations, cette décision pourrait compromettre l'électrification du parc automobile national, laissant les acteurs de l'industrie dans une situation préoccupante.
Adolfo Urso, le ministre de l'Industrie, a tenté de rassurer en affirmant que des efforts seraient faits pour soutenir la chaîne d'approvisionnement automobile. Cependant, les consommateurs pourraient se retrouver sans aides pour passer à l'électrique dès 2025. Dans un contexte où l'Italie est déjà l'un des pays européens les moins généreux en matière d'incitations, cette décision pourrait compromettre l'électrification du parc automobile national, laissant les acteurs de l'industrie dans une situation préoccupante.