Dans son premier entretien médiatique après sa réélection, Abdelmadjid Tebboune, président algérien, a vivement critiqué le Maroc tout en abordant l’un des projets les plus stratégiques de la région : le gazoduc reliant le Nigeria à l’Europe via le Maghreb. Ce projet, initié par le Nigeria, pourrait être un vecteur de coopération entre les pays de la région, mais Tebboune a choisi de l’utiliser comme une arme politique contre le Maroc.
Le président algérien a notamment attaqué la légitimité du Maroc à participer à ce projet gazier, arguant que l'Algérie est mieux placée pour prendre la tête de cette initiative. Cette attaque verbale fait écho aux tensions historiques entre les deux nations, exacerbées ces dernières années par des désaccords diplomatiques et territoriaux.
Les propos de Tebboune ont relancé les débats sur la rivalité entre l’Algérie et le Maroc. Alors que le projet de gazoduc pourrait bénéficier à toute l’Afrique du Nord et au-delà, l'implication d'une telle rivalité nationale dans cette initiative risque de retarder son avancement. L’Algérie voit ce projet comme un moyen de renforcer son influence énergétique en Europe, une stratégie dans laquelle le Maroc est perçu comme un concurrent direct.
Le Maroc, de son côté, a pris de l’avance en collaborant étroitement avec le Nigeria pour développer une alternative via un gazoduc traversant l'Atlantique. Cette approche a mis l’Algérie en difficulté, d’autant plus que Rabat bénéficie d’un soutien international accru. Les attaques de Tebboune, loin de constituer une simple déclaration diplomatique, révèlent une lutte pour la domination énergétique en Afrique du Nord, avec des implications géopolitiques majeures pour la région.
À mesure que les discussions progressent sur l'avenir du gazoduc, la rivalité entre Alger et Rabat ne fera que croître, rendant ce projet encore plus complexe et politisé.
Le président algérien a notamment attaqué la légitimité du Maroc à participer à ce projet gazier, arguant que l'Algérie est mieux placée pour prendre la tête de cette initiative. Cette attaque verbale fait écho aux tensions historiques entre les deux nations, exacerbées ces dernières années par des désaccords diplomatiques et territoriaux.
Les propos de Tebboune ont relancé les débats sur la rivalité entre l’Algérie et le Maroc. Alors que le projet de gazoduc pourrait bénéficier à toute l’Afrique du Nord et au-delà, l'implication d'une telle rivalité nationale dans cette initiative risque de retarder son avancement. L’Algérie voit ce projet comme un moyen de renforcer son influence énergétique en Europe, une stratégie dans laquelle le Maroc est perçu comme un concurrent direct.
Le Maroc, de son côté, a pris de l’avance en collaborant étroitement avec le Nigeria pour développer une alternative via un gazoduc traversant l'Atlantique. Cette approche a mis l’Algérie en difficulté, d’autant plus que Rabat bénéficie d’un soutien international accru. Les attaques de Tebboune, loin de constituer une simple déclaration diplomatique, révèlent une lutte pour la domination énergétique en Afrique du Nord, avec des implications géopolitiques majeures pour la région.
À mesure que les discussions progressent sur l'avenir du gazoduc, la rivalité entre Alger et Rabat ne fera que croître, rendant ce projet encore plus complexe et politisé.