Un trajet de 45 minutes
Face à la flambée du prix de l’essence, une assistante vétérinaire de Sarrebourg a décidé de troquer la voiture pour le cheval. Une alternative économique et écologique.
Depuis l'arrivée des beaux jours du printemps en Moselle, Justine Florentin, assistante vétérinaire, va de chez elle, à Kerprich-aux-Bois, à son travail avec sa jument. Après l'augmentation fulgurante des prix des carburants depuis le début de la guerre en Ukraine, l'idée de changer de moyen de locomotion est venue naturellement à la jeune femme.
Après 8 kilomètres de trajet qui dure désormais 45 minutes, majoritairement en forêt et dans les champs, la jument trouve un paddock sur le parking de la clinique.
Taux de carbone zéro !
Depuis que Justine utilise ce moyen de locomotion, ses dépenses se limitent à l’achat de nourriture, l’entretien journalier et des soins éventuels en cas de blessure ou de maladie. Une manière originale, pour qui le peut, de réduire les coûts liés au transport.
Quant au bilan carbone de l'auxilaire vétérinaire, il est resté très bas depuis le début du printemps.
Mais bien sûr, les vertus de cette promenade équestre vont bien au-delà de l'aspect écologique.
L'odj avec 7sur7
Face à la flambée du prix de l’essence, une assistante vétérinaire de Sarrebourg a décidé de troquer la voiture pour le cheval. Une alternative économique et écologique.
Depuis l'arrivée des beaux jours du printemps en Moselle, Justine Florentin, assistante vétérinaire, va de chez elle, à Kerprich-aux-Bois, à son travail avec sa jument. Après l'augmentation fulgurante des prix des carburants depuis le début de la guerre en Ukraine, l'idée de changer de moyen de locomotion est venue naturellement à la jeune femme.
« Avec la hausse importante du prix du diesel et l’arrivée des beaux jours, je me suis dit pourquoi ne pas aller travailler avec Tempette ? En plus, ça lui fait un peu d’exercice », a expliqué la Moselle au Républicain Lorrain.
Après 8 kilomètres de trajet qui dure désormais 45 minutes, majoritairement en forêt et dans les champs, la jument trouve un paddock sur le parking de la clinique.
« Elle y a du foin à volonté, de l’eau, l’abri d’une haie », détaille encore sa propriétaire.
Taux de carbone zéro !
Depuis que Justine utilise ce moyen de locomotion, ses dépenses se limitent à l’achat de nourriture, l’entretien journalier et des soins éventuels en cas de blessure ou de maladie. Une manière originale, pour qui le peut, de réduire les coûts liés au transport.
Quant au bilan carbone de l'auxilaire vétérinaire, il est resté très bas depuis le début du printemps.
Mais bien sûr, les vertus de cette promenade équestre vont bien au-delà de l'aspect écologique.
"Je suis de base heureuse à cheval... J'aime mon travail et j'aime aller au travail avec ma jument, que demander de plus ?", explique-t-elle.
L'odj avec 7sur7