Outre l'intérêt que suscitent les tournois du Ramadan en tant qu'exutoire permettant aux pratiquants du ballon rond de s'amuser et de passer le temps, tout en maintenant une bonne forme physique pendant ce mois sacré, ils sont devenus un moyen de créer des alliances entre les équipes de plusieurs quartiers à travers des associations et des ligues.
Toutefois, les stades de quartiers qui abritent ces tournois posent des difficultés aux organisateurs d'une part et aux équipes d'autre part, notamment trouver le bon endroit, avant de commencer à réfléchir au prix du tournoi qui dispose de ses mécanismes et de son système, en plus des désaccords sur le transfert de joueurs avant et au cours du tournoi, une opération dans laquelle il n'y a parfois pas de règles contraignantes pour les équipes.
A cet égard, le président de de la commission des lois et règlements du tournoi du Ramadan organisé sous l’égide de la Ligue nationale des équipes de quartiers, Mohamed Lakraidi, a indiqué que les stades présentent de nombreuses contraintes au niveau de la ville de Salé, qui dispose de seulement deux terrains, le premier au quartier Arrahma, qui subit une grande pression car il est le seul à disposer des normes requises pour accueillir les matchs des clubs des ligues régionales, et le deuxième au quartier Sidi Moussa qui ne répond pas aux normes.
Il a ajouté dans une déclaration à la MAP que le tournoi du Ramadan de cette année en particulier rencontre de grandes difficultés à ce niveau, car les compétitions de la Ligue sont toujours en cours et il y a une forte affluence des équipes qui souhaitent participer au tournoi, ce qui nécessite une bonne gestion pour surmonter les obstacles, en coordination avec la commune urbaine de Salé-Bettana, les arrondissements et les équipes évoluant au sein de la ligue pour trouver un terrain d’entente.
Il a souligné que les réunions qui se tiennent depuis un certain temps avec toutes ces parties concernées ont permis de trouver des solutions, notamment la tenue du plus grand nombre de matchs, qui s'élève à 48, au stade du quartier Arrahma, et répartir le reste sur les terrains de Sidi Moussa et Lamrissa, et potentiellement au stade Abou Bakr Ammar de l’AS Salé pour surmonter la problématique de manque de terrains.
Et d'ajouter qu'après avoir bouclé l'inscription des équipes participantes, 48 matchs ont été programmés, tandis que la commune a décidé de tenir une seule rencontre par jour, précisant que pour résoudre ce problème de planning, les organisateurs envisagent de tenir les 18 premiers matchs avant le début du mois sacré sur le seul terrain temporairement disponible, une première dans l'histoire des tournois du Ramadan qui commencent généralement avec le début du mois sacré.
D'autre part, Mohamed Lakraidi a expliqué que l'organisation du tournoi du Ramadan est précédée de nombreuses étapes, à commencer par les démarches administratives et l'obtention d'une autorisation des autorités locales, puis s'accorder sur la forme et les critères appropriés de choix des équipes participantes, relevant que même cette étape préliminaire d’organisation a rencontré de nombreux obstacles, notamment l’absence de visibilité sur les équipes de quartiers et leur niveau après la suspension des tournois ramadanesques en raison de l'épidémie du Covid-19.
Après avoir déterminé le nombre d'équipes, un tirage au sort est organisé pour programmer les matchs qui doivent respecter de nombreuses conditions, notamment éviter les derbies pour assurer un bon spectacle footballistique au profit des supporters.
En plus de trouver des terrains aux normes pour abriter les matchs, les moyens financiers issus des contributions des équipes représentent également une autre contrainte en raison de l’absence de sponsors.
Au cours des dernières années, ces tournois ne se limitaient pas aux joueurs amateurs, mais connaissaient la participation de joueurs qui étaient des stars ou le sont devenus plus tard, comme l'icône du football de Salé, Mouh, le célèbre attaquant Mahrouss, feu Abdel Majid Dolmi, Badou Zaki, Mustapha Al Haddaoui et Fathi Jamal.
Toutefois, les stades de quartiers qui abritent ces tournois posent des difficultés aux organisateurs d'une part et aux équipes d'autre part, notamment trouver le bon endroit, avant de commencer à réfléchir au prix du tournoi qui dispose de ses mécanismes et de son système, en plus des désaccords sur le transfert de joueurs avant et au cours du tournoi, une opération dans laquelle il n'y a parfois pas de règles contraignantes pour les équipes.
A cet égard, le président de de la commission des lois et règlements du tournoi du Ramadan organisé sous l’égide de la Ligue nationale des équipes de quartiers, Mohamed Lakraidi, a indiqué que les stades présentent de nombreuses contraintes au niveau de la ville de Salé, qui dispose de seulement deux terrains, le premier au quartier Arrahma, qui subit une grande pression car il est le seul à disposer des normes requises pour accueillir les matchs des clubs des ligues régionales, et le deuxième au quartier Sidi Moussa qui ne répond pas aux normes.
Il a ajouté dans une déclaration à la MAP que le tournoi du Ramadan de cette année en particulier rencontre de grandes difficultés à ce niveau, car les compétitions de la Ligue sont toujours en cours et il y a une forte affluence des équipes qui souhaitent participer au tournoi, ce qui nécessite une bonne gestion pour surmonter les obstacles, en coordination avec la commune urbaine de Salé-Bettana, les arrondissements et les équipes évoluant au sein de la ligue pour trouver un terrain d’entente.
Il a souligné que les réunions qui se tiennent depuis un certain temps avec toutes ces parties concernées ont permis de trouver des solutions, notamment la tenue du plus grand nombre de matchs, qui s'élève à 48, au stade du quartier Arrahma, et répartir le reste sur les terrains de Sidi Moussa et Lamrissa, et potentiellement au stade Abou Bakr Ammar de l’AS Salé pour surmonter la problématique de manque de terrains.
Et d'ajouter qu'après avoir bouclé l'inscription des équipes participantes, 48 matchs ont été programmés, tandis que la commune a décidé de tenir une seule rencontre par jour, précisant que pour résoudre ce problème de planning, les organisateurs envisagent de tenir les 18 premiers matchs avant le début du mois sacré sur le seul terrain temporairement disponible, une première dans l'histoire des tournois du Ramadan qui commencent généralement avec le début du mois sacré.
D'autre part, Mohamed Lakraidi a expliqué que l'organisation du tournoi du Ramadan est précédée de nombreuses étapes, à commencer par les démarches administratives et l'obtention d'une autorisation des autorités locales, puis s'accorder sur la forme et les critères appropriés de choix des équipes participantes, relevant que même cette étape préliminaire d’organisation a rencontré de nombreux obstacles, notamment l’absence de visibilité sur les équipes de quartiers et leur niveau après la suspension des tournois ramadanesques en raison de l'épidémie du Covid-19.
Après avoir déterminé le nombre d'équipes, un tirage au sort est organisé pour programmer les matchs qui doivent respecter de nombreuses conditions, notamment éviter les derbies pour assurer un bon spectacle footballistique au profit des supporters.
En plus de trouver des terrains aux normes pour abriter les matchs, les moyens financiers issus des contributions des équipes représentent également une autre contrainte en raison de l’absence de sponsors.
Au cours des dernières années, ces tournois ne se limitaient pas aux joueurs amateurs, mais connaissaient la participation de joueurs qui étaient des stars ou le sont devenus plus tard, comme l'icône du football de Salé, Mouh, le célèbre attaquant Mahrouss, feu Abdel Majid Dolmi, Badou Zaki, Mustapha Al Haddaoui et Fathi Jamal.