Lors d'un tournoi qui s'est déroulé le week-end dernier à Fnideq, un jeune kickboxeur a perdu la vie après avoir été assommé par un coup de son adversaire. Malgré son transfert à l'hôpital de la région après avoir perdu connaissance suite au coup reçu, l'athlète n'a pas survécu à ses blessures.
Cette tragédie, qui plonge le monde du sport dans le deuil, ravive les discussions sur le respect des normes de sécurité, notamment en ce qui concerne l'équipement requis pour les combats, rapporte Al Akhbar dans son édition du mardi 6 février.
Parmi les normes de sécurité soulevées par les experts interrogés par le quotidien, il est mis en avant l'importance de la présence d'au moins un médecin et d'une équipe d'infirmiers, ainsi que celle d'une ambulance équipée, en remplacement des simples ambulances communales.
En plus de ces exigences, il est souligné la nécessité de disposer d'équipements de communication entre l'équipe médicale et les services d'urgence, en cas d'intervention chirurgicale d'urgence.
D'après des sources citées par Al Akhbar, la police judiciaire, en collaboration avec le parquet de Tétouan, a interrogé plusieurs personnes et dressé plusieurs procès-verbaux dans le cadre de l'enquête.
Les autorités ont également vérifié l'inscription de la victime sur le registre des boxeurs assurés, car une assurance est obligatoire pour pratiquer ce sport, selon le quotidien.
L'enquête policière a également examiné le dossier médical de la victime pour déterminer si son état physique lui permettait de pratiquer ce sport dangereux.
Suite à cet incident, plusieurs voix se sont élevées pour demander aux institutions et aux organisateurs d'événements sportifs de veiller au respect des normes de sécurité et à la formation adéquate des arbitres, dont le rôle est crucial pour arrêter le match en cas de danger.
Ces voix appellent également à ce que les associations respectent les conditions définies dans le cahier des charges ainsi que les normes de sécurité pour protéger les athlètes et le public.
Selon Al Akhbar, plusieurs députés souhaitent interroger le ministre de l'Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa, afin de clarifier les circonstances de cette tragédie et de prendre toutes les mesures nécessaires avant l'organisation d'autres événements sportifs similaires à Fnideq.
Cette tragédie, qui plonge le monde du sport dans le deuil, ravive les discussions sur le respect des normes de sécurité, notamment en ce qui concerne l'équipement requis pour les combats, rapporte Al Akhbar dans son édition du mardi 6 février.
Parmi les normes de sécurité soulevées par les experts interrogés par le quotidien, il est mis en avant l'importance de la présence d'au moins un médecin et d'une équipe d'infirmiers, ainsi que celle d'une ambulance équipée, en remplacement des simples ambulances communales.
En plus de ces exigences, il est souligné la nécessité de disposer d'équipements de communication entre l'équipe médicale et les services d'urgence, en cas d'intervention chirurgicale d'urgence.
D'après des sources citées par Al Akhbar, la police judiciaire, en collaboration avec le parquet de Tétouan, a interrogé plusieurs personnes et dressé plusieurs procès-verbaux dans le cadre de l'enquête.
Les autorités ont également vérifié l'inscription de la victime sur le registre des boxeurs assurés, car une assurance est obligatoire pour pratiquer ce sport, selon le quotidien.
L'enquête policière a également examiné le dossier médical de la victime pour déterminer si son état physique lui permettait de pratiquer ce sport dangereux.
Suite à cet incident, plusieurs voix se sont élevées pour demander aux institutions et aux organisateurs d'événements sportifs de veiller au respect des normes de sécurité et à la formation adéquate des arbitres, dont le rôle est crucial pour arrêter le match en cas de danger.
Ces voix appellent également à ce que les associations respectent les conditions définies dans le cahier des charges ainsi que les normes de sécurité pour protéger les athlètes et le public.
Selon Al Akhbar, plusieurs députés souhaitent interroger le ministre de l'Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa, afin de clarifier les circonstances de cette tragédie et de prendre toutes les mesures nécessaires avant l'organisation d'autres événements sportifs similaires à Fnideq.