Les intervenants ont débuté par une introduction sur l'importance cruciale du financement des infrastructures liées à l'eau. En citant Alfred de Musset, ils ont illustré les ambitions et les défis inhérents à la gestion de cette ressource précieuse. Parmi les idées phares discutées figuraient des solutions innovantes comme le dessalement, ainsi que la nécessité d'une gouvernance inclusive pour garantir l'accès à l'eau pour tous.

Le panel a également abordé les modèles contractuels efficaces au Maroc, en mettant en avant l'expérience d'un avocat spécialisé dans le domaine. Les discussions ont révélé que le pays fait face à des enjeux complexes, notamment le stress hydrique et la nécessité d'évolutions institutionnelles. Les intervenants ont souligné l'importance des partenariats publics-privés pour financer des projets d'infrastructure, tout en mettant en avant des exemples concrets de collaboration réussie.

Un point crucial a été l'accent mis sur les projets de dessalement et de transport d'eau, intégrant des énergies renouvelables pour une gestion durable. Les experts ont convenu que l'eau est un besoin fondamental, mais que son financement reste un défi pour les banques commerciales.

Enfin, le panel a souligné la nécessité d'une gestion intégrée des ressources en eau, avec une attention particulière portée à l'équité d'accès, surtout dans les zones rurales, où les besoins en eau potable et en irrigation sont pressants. Les solutions temporaires, telles que les camions citernes, et le renforcement de la recherche sur les ressources souterraines ont été évoqués comme des mesures nécessaires pour faire face à la sécheresse.