Femmes, faites-le pour vous, faites-le pour demain,
Pour préserver ce symbole qui vous appartient.

Le sein, symbole de féminité,
Quand le cancer frappe, il blesse cette identité,

Touchée dans son corps, dans son âme,
Comme une flamme qu’on éteint, une part de soi en drame.

Et si l’ablation devient nécessaire,
Pour certaines, c’est une féminité qu’on enterre,

Le miroir devient un ennemi,
Une image perdue, moins de désir, moins d’envie.

Mais, attends, c’est n'est plus une fatalité,
Le cancer du sein, on peut l’arrêter.

Aujourd'hui, on a les clés,
Le dépistage, c'est la voie pour s’en libérer.

Avant que la boule ne se fasse sentir,
Avant que la douleur ne vienne s’inscrire,
Il est possible d’agir,
De sauver la vie, de maintenir le sourire.

Le traitement devient efficace, la bataille est gagnée,
La femme reste entière, son corps préservé.

Détecter, c’est protéger,
La féminité, c’est la santé.

Alors, mes sœurs, c’est le moment de se lever,
Le dépistage est là pour vous sauver,
C’est simple, c’est à votre portée,
N’attendez pas que le temps vienne tout briser.

Femmes, faites-le pour vous, faites-le pour demain,
Pour préserver ce symbole qui vous appartient.

Il évoque la douleur physique et psychologique que provoque cette maladie, notamment lorsqu'une ablation est nécessaire, perçue par certaines comme une atteinte à leur féminité.

Le miroir devient alors un ennemi, reflet de la perte de confiance en soi.

Cependant, le poème délivre un message d’espoir en rappelant que le cancer du sein n'est plus une fatalité. Grâce au dépistage précoce et aux avancées médicales, il est possible de vaincre la maladie et de préserver l'intégrité physique et psychologique des femmes.

Le poème encourage les femmes à se faire dépister pour protéger leur santé et leur féminité. C’est un appel à la prévention et à la prise en main de leur avenir, en agissant avant que la maladie ne prenne le dessus.