La ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, s'impose comme l'architecte discrète mais déterminée de la réussite touristique du Maroc. Derrière des résultats impressionnants se cache une stratégie méthodique qui fait aujourd’hui du royaume une référence en Afrique et au-delà.

Sous la houlette de Fatim-Zahra Ammor, le secteur touristique marocain affiche des performances historiques. Avec 17,4 millions de visiteurs en 2024, le Maroc enregistre une croissance de 20 % par rapport à 2023 et de 35 % par rapport à 2019. Ces résultats positionnent le pays en tête des destinations africaines, une reconnaissance qui va au-delà des frontières du continent.

En parallèle, les recettes touristiques en devises devraient dépasser les 110 milliards de dirhams, une manne économique essentielle pour le royaume. Ce succès découle d’une vision long terme et d’une gestion stratégique, mêlant modernisation des infrastructures et valorisation des ressources humaines.

Pour relancer le tourisme, Fatim-Zahra Ammor a orchestré un plan d’urgence de 2 milliards de dirhams qui a permis au secteur de rebondir après la crise sanitaire. Ce dispositif a été complété par une nouvelle feuille de route dotée d’un budget de 6,1 milliards de dirhams, visant à consolider les acquis et à stimuler l’innovation dans le secteur.

L’un des projets phares est le programme « Cap Hospitality », un levier clé pour renforcer l’offre hôtelière en vue des grands événements sportifs à venir, notamment la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et la Coupe du Monde 2030. Ce programme prévoit la rénovation de 25 000 chambres grâce à un investissement de 2 milliards de dirhams, garantissant une capacité d’accueil de qualité pour les visiteurs.

Consciente que le capital humain est au cœur du développement touristique, la ministre a mis en place plusieurs initiatives pour former une nouvelle génération de professionnels du secteur. Quatorze nouvelles filières de formation ont été créées en partenariat avec l’OFPPT, tandis que le programme « Kafaa » accompagne les jeunes talents pour répondre aux exigences du marché. Ce focus sur la formation contribue à réduire le chômage tout en garantissant un service de haute qualité aux touristes.

Avec 827 000 emplois générés, dont 25 000 nouveaux postes en 2024, le tourisme devient un moteur significatif pour l'économie marocaine, renforçant l'attractivité du pays sur la scène internationale.

Le tourisme interne, souvent négligé par le passé, occupe désormais une place centrale dans la stratégie ministérielle. Avec 8,5 millions de nuits enregistrées en 2024 dans les établissements classés, ce segment représente près de 30 % du total des nuitées. Cette dynamique permet de stabiliser le secteur face aux fluctuations du tourisme international, tout en valorisant les régions moins connues du royaume.

Fatim-Zahra Ammor incarne une approche différente : loin des projecteurs, elle privilégie les résultats concrets. Son leadership silencieux mais efficace démontre que la persévérance et une gestion réfléchie peuvent transformer un secteur entier. Chaque chiffre annoncé, chaque initiative lancée témoigne d’une vision cohérente et ambitieuse.

Grâce à cette stratégie minutieuse, le Maroc s’installe durablement comme une destination phare en Afrique et dans le monde. Les efforts de modernisation, combinés à l’accent mis sur le tourisme durable et l'inclusion, augurent d’un avenir prometteur pour le secteur.

Si la critique constructive est un moteur de progrès, il est tout aussi légitime de saluer les résultats tangibles qui impactent positivement le pays. Ignorer ces réussites serait nier l’efficacité d’une gestion réfléchie et méthodique. Lorsque des chiffres record et des réformes structurelles attestent du succès d’une stratégie, comme celle menée dans le secteur touristique par Fatim-Zahra Ammor, il est du devoir des observateurs et des médias de les souligner. C’est aussi une façon d’encourager une culture de transparence et de responsabilisation, où les réalisations sont aussi importantes que les promesses.