Les résultats de cette recherche poignante révèlent qu'environ 302 millions d'enfants, soit un enfant sur huit dans le monde, ont été exposés de manière non consensuelle à des images ou vidéos à caractère sexuel au cours de l'année écoulée. Ces situations incluent la diffusion ou la capture de contenu sans le consentement préalable de l'enfant, ainsi que leur exposition à des contenus pornographiques.
L'organisation « ChildLight », qui œuvre à la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels, a mis en lumière un chiffre inquiétant : près de 20 % des enfants en Europe occidentale sont touchés par ce fléau.
Par ailleurs, en 2023, 12,5 % des enfants à l'échelle mondiale ont été confrontés à des interactions sexuelles non désirées en ligne. Ces interactions incluent des messages à caractère sexuel, des demandes d'activités sexuelles provenant d'adultes et de mineurs, des chantages aux photos intimes, ainsi que l'utilisation de l'intelligence artificielle pour falsifier des images.
Un constat accablant émerge de ces chiffres : une affaire de ce type est signalée chaque seconde à travers le monde.
Dans une déclaration poignante, Paul Stanfield, président de « ChildLight » et expert ayant collaboré avec Interpol et l'Agence britannique de lutte contre la criminalité, qualifie cette réalité de « pandémie mondiale restée trop longtemps dissimulée ». Il insiste sur l'omniprésence de ce fléau dans tous les pays et sur sa croissance exponentielle, appelant ainsi à une action internationale urgente.
Steven Kavanagh, responsable chez Interpol, déplore les défis posés par la législation actuelle de l'organisation dans la lutte contre cette situation. Il souligne que cette problématique touche principalement des garçons âgés de 14 à 18 ans, et met en lumière le rôle potentiel de groupes criminels organisés, notamment basés en dehors du Royaume-Uni, particulièrement présents dans les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Asie du Sud-Est, dans ces activités de chantage.
L'organisation « ChildLight », qui œuvre à la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels, a mis en lumière un chiffre inquiétant : près de 20 % des enfants en Europe occidentale sont touchés par ce fléau.
Par ailleurs, en 2023, 12,5 % des enfants à l'échelle mondiale ont été confrontés à des interactions sexuelles non désirées en ligne. Ces interactions incluent des messages à caractère sexuel, des demandes d'activités sexuelles provenant d'adultes et de mineurs, des chantages aux photos intimes, ainsi que l'utilisation de l'intelligence artificielle pour falsifier des images.
Un constat accablant émerge de ces chiffres : une affaire de ce type est signalée chaque seconde à travers le monde.
Dans une déclaration poignante, Paul Stanfield, président de « ChildLight » et expert ayant collaboré avec Interpol et l'Agence britannique de lutte contre la criminalité, qualifie cette réalité de « pandémie mondiale restée trop longtemps dissimulée ». Il insiste sur l'omniprésence de ce fléau dans tous les pays et sur sa croissance exponentielle, appelant ainsi à une action internationale urgente.
Steven Kavanagh, responsable chez Interpol, déplore les défis posés par la législation actuelle de l'organisation dans la lutte contre cette situation. Il souligne que cette problématique touche principalement des garçons âgés de 14 à 18 ans, et met en lumière le rôle potentiel de groupes criminels organisés, notamment basés en dehors du Royaume-Uni, particulièrement présents dans les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Asie du Sud-Est, dans ces activités de chantage.