Une querelle culinaire
La pizza hawaïenne, ce mélange sucré-salé qui déchaîne les passions, est à nouveau au centre d’une querelle culinaire.
En Angleterre, Lupa Pizza, un restaurant situé à Norwich, a décidé de prendre une position radicale contre cette recette enflammée.
Leur stratégie ? Un supplément de 100 livres sterling (environ 120 euros) pour les « monstres » qui osent commander une pizza garnie d’ananas. Une démarche aussi audacieuse que moqueuse, qui ne laisse personne indifférent.
En Angleterre, Lupa Pizza, un restaurant situé à Norwich, a décidé de prendre une position radicale contre cette recette enflammée.
Leur stratégie ? Un supplément de 100 livres sterling (environ 120 euros) pour les « monstres » qui osent commander une pizza garnie d’ananas. Une démarche aussi audacieuse que moqueuse, qui ne laisse personne indifférent.
Une provocation assumée
Francis Woolf, l’un des propriétaires de Lupa Pizza, ne mâche pas ses mots. Dans une interview accordée au Norwich Evening News, il a clairement exprimé son aversion pour l’ananas sur une pizza, allant jusqu’à dire qu’il s’agissait de sa garniture la plus détestée.
Pourtant, la fameuse pizza hawaïenne figure bien sur le menu du restaurant, mais elle est accompagnée d’un commentaire ironique :
Ce n’est pas la première fois que la question de l’ananas sur la pizza fait débat. L’art des pizzaïolos napolitains, inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO depuis 2017, défend une approche puriste de ce plat italien emblématique.
Pour les puristes, l’ajout d’ananas est une véritable hérésie qui trahit l’essence même de la pizza. Pourtant, cette garniture sucrée, née au Canada dans les années 1960, continue de séduire des millions de personnes à travers le monde.
Pourtant, la fameuse pizza hawaïenne figure bien sur le menu du restaurant, mais elle est accompagnée d’un commentaire ironique :
« Pour 100 livres sterling, tu peux l’avoir. Commande aussi le champagne. Vas-y, espèce de monstre ! »
Ce n’est pas la première fois que la question de l’ananas sur la pizza fait débat. L’art des pizzaïolos napolitains, inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO depuis 2017, défend une approche puriste de ce plat italien emblématique.
Pour les puristes, l’ajout d’ananas est une véritable hérésie qui trahit l’essence même de la pizza. Pourtant, cette garniture sucrée, née au Canada dans les années 1960, continue de séduire des millions de personnes à travers le monde.
Quand le débat dépasse la cuisine
Lupa Pizza ne s’est pas contenté d’une provocation en salle. Le restaurant a aussi enflammé les réseaux sociaux.
Sur Facebook, il a invité les « militants pro et anti-ananas » à se rassembler, plaisantant sur l’idée de voir des heurts dans la rue ou des débats animés retransmis à la télévision.
Une manière habile de surfer sur la controverse pour attirer l’attention et, bien sûr, les clients.
Cette démarche, qui pourrait sembler anodine, illustre un phénomène plus large : la cuisine n’est plus seulement une affaire de goût, mais un terrain de revendications culturelles et d’affirmations identitaires.
Commander ou boycotter une pizza hawaïenne devient alors un acte symbolique, presque politique.
Sur Facebook, il a invité les « militants pro et anti-ananas » à se rassembler, plaisantant sur l’idée de voir des heurts dans la rue ou des débats animés retransmis à la télévision.
Une manière habile de surfer sur la controverse pour attirer l’attention et, bien sûr, les clients.
Cette démarche, qui pourrait sembler anodine, illustre un phénomène plus large : la cuisine n’est plus seulement une affaire de goût, mais un terrain de revendications culturelles et d’affirmations identitaires.
Commander ou boycotter une pizza hawaïenne devient alors un acte symbolique, presque politique.
Une stratégie marketing efficace ?
En imposant un supplément exorbitant à la pizza hawaïenne, Lupa Pizza a non seulement affirmé son identité culinaire, mais aussi réussi un coup de marketing.
La provocation attire l’attention des médias, des réseaux sociaux, et suscite des débats passionnés parmi les amateurs de gastronomie.
Qu’on soit pour ou contre l’ananas sur la pizza, une chose est sûre : le restaurant de Norwich a gagné en visibilité.
Alors, êtes-vous plutôt dans le camp des puristes ou des aventuriers du goût ? Quoi qu’il en soit, cette querelle culinaire semble loin d’être résolue, et l’ananas continue de faire parler de lui, tranche après tranche.
La provocation attire l’attention des médias, des réseaux sociaux, et suscite des débats passionnés parmi les amateurs de gastronomie.
Qu’on soit pour ou contre l’ananas sur la pizza, une chose est sûre : le restaurant de Norwich a gagné en visibilité.
Alors, êtes-vous plutôt dans le camp des puristes ou des aventuriers du goût ? Quoi qu’il en soit, cette querelle culinaire semble loin d’être résolue, et l’ananas continue de faire parler de lui, tranche après tranche.