Quand l'Amérique " Swing "!
Sommes nous en train de vivre une présidentielle américaine à rebondissements !? Les Américains sont-ils au bout de leurs surprises avec ce 5 November sous très haute tension !!?
Il y a eu tout d'abord le retrait du locataire actuel de la Maison Blanche qui avait provoqué une certaine
" Kalamania " , même si la vice -présidente des Etats-Unis demeure encore une grande inconnue aux yeux des Américains !
Il y a eu , dans la foulée , une première tentative d'assassinat sur Donald Trump il y a trois mois , puis deux autres tentatives présumées et surtout, un débat entre les deux candidats qui s'est avéré catastrophique pour l'ancien président républicain qui a semblé hystérique et déraisonnable , provocateur et populiste !
Mais depuis, last but not least , tel un sphinx, Donald Trump semble avoir ressuscité puisque de très récents sondages lui prêtent un léger avantage alors que Kamala Harris était en ballotage favorable ces dernières semaines.
Alors , qui est vraiment en tête dans les « swing states » entre Donald Trump et Kamala Harris ?
On les appelle les « swing states », ou « Etats indécis » en français. Autrement dit , les Etats qui peuvent faire basculer une élection présidentielle d’un côté ou de l’autre. Il s’agit historiquement de l’Arizona, de la Caroline du Nord, de la Géorgie, du Michigan, du Nevada, de la Pennsylvanie et du Wisconsin.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la présidentielle américaine, organisée au scrutin universel indirect, ne se joue , en effet , pas véritablement dans les 50 Etats. Certains territoires sont historiquement ancrés côté démocrate ou côté républicain, et les résultats y sont quasiment joués d’avance. Les candidats concentrent donc leurs efforts pendant la campagne sur les quelques Etats où se joue l’élection.
A moins de trois semaines du scrutin, prévu le 5 novembre, il est possible de suivre l’évolution des sondages dans ces Etats-clés depuis le mois d’avril, à partir des données compilées par le site américain FiveThirtyEight, qui appartient à la chaîne d’information ABC News.
Dans chacun de ces sept territoires, les deux candidats en lice pour la Maison Blanche, Donald Trump et Kamala Harris, seraient au coude-à-coude, à l’image des sondages à l’échelle nationale.
Il y a eu tout d'abord le retrait du locataire actuel de la Maison Blanche qui avait provoqué une certaine
" Kalamania " , même si la vice -présidente des Etats-Unis demeure encore une grande inconnue aux yeux des Américains !
Il y a eu , dans la foulée , une première tentative d'assassinat sur Donald Trump il y a trois mois , puis deux autres tentatives présumées et surtout, un débat entre les deux candidats qui s'est avéré catastrophique pour l'ancien président républicain qui a semblé hystérique et déraisonnable , provocateur et populiste !
Mais depuis, last but not least , tel un sphinx, Donald Trump semble avoir ressuscité puisque de très récents sondages lui prêtent un léger avantage alors que Kamala Harris était en ballotage favorable ces dernières semaines.
Alors , qui est vraiment en tête dans les « swing states » entre Donald Trump et Kamala Harris ?
On les appelle les « swing states », ou « Etats indécis » en français. Autrement dit , les Etats qui peuvent faire basculer une élection présidentielle d’un côté ou de l’autre. Il s’agit historiquement de l’Arizona, de la Caroline du Nord, de la Géorgie, du Michigan, du Nevada, de la Pennsylvanie et du Wisconsin.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la présidentielle américaine, organisée au scrutin universel indirect, ne se joue , en effet , pas véritablement dans les 50 Etats. Certains territoires sont historiquement ancrés côté démocrate ou côté républicain, et les résultats y sont quasiment joués d’avance. Les candidats concentrent donc leurs efforts pendant la campagne sur les quelques Etats où se joue l’élection.
A moins de trois semaines du scrutin, prévu le 5 novembre, il est possible de suivre l’évolution des sondages dans ces Etats-clés depuis le mois d’avril, à partir des données compilées par le site américain FiveThirtyEight, qui appartient à la chaîne d’information ABC News.
Dans chacun de ces sept territoires, les deux candidats en lice pour la Maison Blanche, Donald Trump et Kamala Harris, seraient au coude-à-coude, à l’image des sondages à l’échelle nationale.
Jamais la campagne présidentielle n'avait été aussi clivante entre les pro- israéliens et les pro-palestiniens, les conservateurs pro -avortement et les progressistes , les arabes et les juifs Américains qui ne voteront pas pour Kamala Harris en raisin de la guerre et du soutien , aveugle et inconditionnel , de la Maison Blanche à Tel-aviv , ainsi que ceux et celles qui voudraient ou plutôt non , ne pas voter pour une femme !
Jusqu’à la fin juillet, l’ancien président Donald Trump était largement en tête dans la plupart de ces Etats. Le retrait de Joe Biden, le 21 juillet, et son remplacement par sa vice-présidente avait impulsé une nouvelle dynamique favorable au camp démocrate, qui avait vu l’écart avec le camp adverse se resserrer.
Dans le Wisconsin, en Pennsylvanie, Nevada et dans le Michigan, Kamala Harris est ainsi repassée devant Donald Trump dans les intentions de vote. Dans l’Arizona, en Caroline du Nord et en Géorgie, c’est plus indécis, les candidats se livrent à un véritable chassé-croisé dans les sondages depuis fin juillet.
Dans le Wisconsin, en Pennsylvanie, Nevada et dans le Michigan, Kamala Harris est ainsi repassée devant Donald Trump dans les intentions de vote. Dans l’Arizona, en Caroline du Nord et en Géorgie, c’est plus indécis, les candidats se livrent à un véritable chassé-croisé dans les sondages depuis fin juillet.
Israël a eu son 7 octobre, l'Amérique aura-t-elle également son 5 novembre avec la prochaine présidentielle de tous les dangers !?
A moins de trois semaines du scrutin, il existe moins de deux points d’écart entre les deux adversaires dans ces Etats. La victoire de l’un ou de l’autre candidat semble à ce stade impossible à prédire et pourrait se jouer dans un mouchoir de poche
Lors de la dernière élection, en 2020, le camp démocrate porté par Joe Biden avait remporté la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, l’Arizona, le Nevada et le Michigan, laissant la Caroline du Nord à Donald Trump, président sortant candidat à sa réélection.
Entre le poids des sondages et celui des médias, il y aura cette fois la campagne de Elon musk pour Donald Trump et le soutien de Taylor swift en faveur de Kamala Harris et surtout, les fake news en provenance de Russie et d'Iran et certainement de Tel-Aviv !
A entendre certains commentateurs américains, le ciel serait tombé sur la tête des démocrates cette semaine. En cause ? Une série de sondages décevants pour leur candidate Kamala Harris face à Donald Trump.
Panique chez Kamala Harris ?
Effectivement, cette semaine, une multitude de sondages d’instituts proches des républicains et plutôt favorables à Trump sont venus faire peur aux démocrates. Cette panique soudaine peut t-elle signifier que Kamala Harris aurait atteint un plafond indépassable ?
Lors de la dernière élection, en 2020, le camp démocrate porté par Joe Biden avait remporté la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, l’Arizona, le Nevada et le Michigan, laissant la Caroline du Nord à Donald Trump, président sortant candidat à sa réélection.
Entre le poids des sondages et celui des médias, il y aura cette fois la campagne de Elon musk pour Donald Trump et le soutien de Taylor swift en faveur de Kamala Harris et surtout, les fake news en provenance de Russie et d'Iran et certainement de Tel-Aviv !
A entendre certains commentateurs américains, le ciel serait tombé sur la tête des démocrates cette semaine. En cause ? Une série de sondages décevants pour leur candidate Kamala Harris face à Donald Trump.
Panique chez Kamala Harris ?
Effectivement, cette semaine, une multitude de sondages d’instituts proches des républicains et plutôt favorables à Trump sont venus faire peur aux démocrates. Cette panique soudaine peut t-elle signifier que Kamala Harris aurait atteint un plafond indépassable ?
Il y a d'abord une étude d’opinion très commentée de NBC News, parue dimanche 13 octobre et réalisée entre le 4 et le 8 octobre, qui place les deux prétendants à la Maison Blanche à 48 % d’intentions de vote chacun. Le mois dernier, le même sondage donnait cinq points d’avance à la vice-présidente.
Le 9 octobre, un précédent sondage de l'institut Quinnipiac avait fait grand bruit en plaçant Donald Trump en tête de trois points dans le Michigan alors que Kamala Harris menait en septembre chez ce sondeur , et de deux points en faveur de Trump dans le Wisconsin alors que les deux candidats étaient auparavant au coude-à-coude.
Des chiffres inhabituels qui ont joué sur la moyenne des agrégateurs de sondages les plus consultés. Dans la moyenne pondérée concoctée par le sondeur Nate Silver dans sa newsletter, Donald Trump obtient ainsi de maigres gains avec moins d’un point de pourcentage , au niveau national et dans la plupart des Etats-clés par rapport à la semaine dernière.
Pour autant, Kamala Harris reste devant au niveau national, en courte tête en Pennsylvanie, dans le Michigan et dans le Wisconsin, tandis que Donald Trump domine légèrement en Géorgie, en Caroline du Nord et un peu plus en Arizona.
A en croire certains titres de presse, la gauche serait en train de paniquer. Malgré les multiples interviews données cette semaine par la remplaçante de Joe Biden don't celle avec Fox News mercredi 16 octobre – elle était critiquée pour sa méfiance envers les médias – et les millions de dollars dépensés par son camp, les chiffres semblent ne plus bouger en sa faveur, voire s’améliorer légèrement pour son rival.
Pis, ce dernier se permet des déplacements dans des Etats ingagnables – il était en meeting à Coachella en Californie , comme s’il voulait projeter force et confiance pour intimider sa concurrente. Pour le média de gauche The Nation, "la campagne Harris doit corriger le tir".
Kamala Harris est-elle en train de répéter les erreurs de Hillary Clinton en 2016 en allant chercher le soutien de républicains modérés au lieu de se concentrant sur l’électorat populaire !?
Harris a , en effet , passé les dernières semaines de sa campagne à tenter de rallier les républicains anti-Trump, au détriment de la promotion de son propre agenda économique populiste et de la défense du droit à l’avortement", peut-on lire.
Pour certains analystes, le danger viendrait plus précisément du vote des minorités masculines, notamment les hommes noirs et latinos, dont une partie délaisserait le camp démocrate au profit de Donald Trump, comme l'a illustré un sondage New York Times/Siena College le week-end dernier
Le 9 octobre, un précédent sondage de l'institut Quinnipiac avait fait grand bruit en plaçant Donald Trump en tête de trois points dans le Michigan alors que Kamala Harris menait en septembre chez ce sondeur , et de deux points en faveur de Trump dans le Wisconsin alors que les deux candidats étaient auparavant au coude-à-coude.
Des chiffres inhabituels qui ont joué sur la moyenne des agrégateurs de sondages les plus consultés. Dans la moyenne pondérée concoctée par le sondeur Nate Silver dans sa newsletter, Donald Trump obtient ainsi de maigres gains avec moins d’un point de pourcentage , au niveau national et dans la plupart des Etats-clés par rapport à la semaine dernière.
Pour autant, Kamala Harris reste devant au niveau national, en courte tête en Pennsylvanie, dans le Michigan et dans le Wisconsin, tandis que Donald Trump domine légèrement en Géorgie, en Caroline du Nord et un peu plus en Arizona.
A en croire certains titres de presse, la gauche serait en train de paniquer. Malgré les multiples interviews données cette semaine par la remplaçante de Joe Biden don't celle avec Fox News mercredi 16 octobre – elle était critiquée pour sa méfiance envers les médias – et les millions de dollars dépensés par son camp, les chiffres semblent ne plus bouger en sa faveur, voire s’améliorer légèrement pour son rival.
Pis, ce dernier se permet des déplacements dans des Etats ingagnables – il était en meeting à Coachella en Californie , comme s’il voulait projeter force et confiance pour intimider sa concurrente. Pour le média de gauche The Nation, "la campagne Harris doit corriger le tir".
Kamala Harris est-elle en train de répéter les erreurs de Hillary Clinton en 2016 en allant chercher le soutien de républicains modérés au lieu de se concentrant sur l’électorat populaire !?
Harris a , en effet , passé les dernières semaines de sa campagne à tenter de rallier les républicains anti-Trump, au détriment de la promotion de son propre agenda économique populiste et de la défense du droit à l’avortement", peut-on lire.
Pour certains analystes, le danger viendrait plus précisément du vote des minorités masculines, notamment les hommes noirs et latinos, dont une partie délaisserait le camp démocrate au profit de Donald Trump, comme l'a illustré un sondage New York Times/Siena College le week-end dernier
Que reste-t-il du rêve américain !?
Entre le poids des sondages et celui des médias, il y aura cette fois la campagne de Elon musk pour Donald Trump et le soutien de Taylor swift en faveur de Kamala Harris et surtout, les Fake news en provenance de Russie et d'Iran et certainement de Tel-Aviv !
Entre " America first " et " Let america great again " , on peut se demander légitimement que reste-t-il du rêve américain avec des revirements improbables chez Kamala Harris au sujet du Moyen -Orient et des armes à feu, et au sujet de l'avortement chez Donald Trump.
Sinon, en cas de réélection de Trump, il n'y a que l'UE, l'OTAN et l'Ukraine qui se retrouveront en plein cauchemar car au Moyen-Orient rien ne risque de changer avec un soutien aveugle de la Maison Blanche à la machine de guerre sioniste et à la poursuite de la colonisation et des annexions !
Israël a eu son 7 octobre, alors l'Amérique aura-t-elle également son 5 novembre avec la prochaine présidentielle de tous les dangers !?
Hafid Fassi Fihri
A suivre