Les quatre personnes accusées d'avoir pendu fin janvier un mannequin à l'effigie de l'attaquant brésilien à un pont de la capitale espagnole avant un derby contre l'Atlético vont écoper de 60.001 euros d'amende et de deux ans d'interdiction de stades, a annoncé dans un communiqué, un organisme dépendant du ministère des Sports.
Arrêtés il y a deux semaines avant d'être remis en liberté, ces membres d'un groupe ultra sont poursuivis par la justice pour "délit de haine", catégorie pénale incluant les délits racistes en Espagne.
Cible régulière d'actes racistes, Vinicius a été visé par de nouvelles insultes à Valence le 28 mai qui ont provoqué une vague d'indignation internationale.
Les trois personnes ayant été identifiées comme les auteurs de ces insultes seront elles sanctionnées de 5.000 euros d'amende et d'un an d'interdiction de stade, a ajouté cet organisme, le Conseil supérieur des Sports.
Ces sanctions doivent encore être entérinées par des instances gouvernementales, responsables des questions de sécurité dans le pays.
Après le dernier épisode d'insultes racistes contre Vinicius, le président de la fédération espagnole, Luis Rubiales, avait reconnu que le pays avait "un problème de racisme" dans le football tandis que le gouvernement de gauche avait lui appelé à plus de fermeté contre ces actes.
Arrêtés il y a deux semaines avant d'être remis en liberté, ces membres d'un groupe ultra sont poursuivis par la justice pour "délit de haine", catégorie pénale incluant les délits racistes en Espagne.
Cible régulière d'actes racistes, Vinicius a été visé par de nouvelles insultes à Valence le 28 mai qui ont provoqué une vague d'indignation internationale.
Les trois personnes ayant été identifiées comme les auteurs de ces insultes seront elles sanctionnées de 5.000 euros d'amende et d'un an d'interdiction de stade, a ajouté cet organisme, le Conseil supérieur des Sports.
Ces sanctions doivent encore être entérinées par des instances gouvernementales, responsables des questions de sécurité dans le pays.
Après le dernier épisode d'insultes racistes contre Vinicius, le président de la fédération espagnole, Luis Rubiales, avait reconnu que le pays avait "un problème de racisme" dans le football tandis que le gouvernement de gauche avait lui appelé à plus de fermeté contre ces actes.