La situation entre Israël et le Liban s'est drastiquement aggravée aujourd'hui, avec un bilan humain en nette augmentation. Selon les autorités libanaises, 274 personnes ont été tuées et 1 024 autres blessées lors des frappes aériennes israéliennes qui ont frappé la vallée de la Bekaa et plusieurs autres régions du Liban. L'armée israélienne affirme cibler des sites où le Hezbollah stockerait des armes stratégiques, mais de nombreux civils ont été pris dans les frappes.
En réponse à ces attaques, des voix s'élèvent dans le monde arabe. Le porte-parole d'Ansar Allah, mouvement basé au Yémen, a exhorté les pays arabes et islamiques à sortir de leur silence face à ce qu’il qualifie d'agression israélienne. Il a également réaffirmé le soutien du Yémen au Liban et à sa résistance islamique face à l’ennemi sioniste. De son côté, le mouvement Hamas a dénoncé les frappes israéliennes, les qualifiant de « crime de guerre » reflétant, selon eux, la nature « nazie » et « désespérée » de l'ennemi sioniste.
Parallèlement, la revue "The Economist" a rapporté qu'Israël envisagerait une opération terrestre visant à prendre le contrôle de certaines zones à l'intérieur du territoire libanais. Cette perspective d'une invasion au sol suscite une vive inquiétude tant au Liban que dans la communauté internationale.
Le ministre de l’Intérieur libanais a quant à lui annoncé que les écoles et instituts publics seront ouverts pour héberger les milliers de déplacés qui fuient les zones touchées par les frappes israéliennes.
Le conflit menace de s'intensifier avec des acteurs régionaux qui pourraient intervenir, tandis que la communauté internationale reste largement silencieuse face à cette tragédie humanitaire en devenir.
En réponse à ces attaques, des voix s'élèvent dans le monde arabe. Le porte-parole d'Ansar Allah, mouvement basé au Yémen, a exhorté les pays arabes et islamiques à sortir de leur silence face à ce qu’il qualifie d'agression israélienne. Il a également réaffirmé le soutien du Yémen au Liban et à sa résistance islamique face à l’ennemi sioniste. De son côté, le mouvement Hamas a dénoncé les frappes israéliennes, les qualifiant de « crime de guerre » reflétant, selon eux, la nature « nazie » et « désespérée » de l'ennemi sioniste.
Parallèlement, la revue "The Economist" a rapporté qu'Israël envisagerait une opération terrestre visant à prendre le contrôle de certaines zones à l'intérieur du territoire libanais. Cette perspective d'une invasion au sol suscite une vive inquiétude tant au Liban que dans la communauté internationale.
Le ministre de l’Intérieur libanais a quant à lui annoncé que les écoles et instituts publics seront ouverts pour héberger les milliers de déplacés qui fuient les zones touchées par les frappes israéliennes.
Le conflit menace de s'intensifier avec des acteurs régionaux qui pourraient intervenir, tandis que la communauté internationale reste largement silencieuse face à cette tragédie humanitaire en devenir.