Dans un rebondissement inattendu dans l’affaire de l’«Escobar du Sahara», l’ancien président du Wydad a décidé de dévoiler toutes ses cartes.
Lors de l’audience du vendredi dernier, Saïd Naciri a demandé au tribunal, siégeant à la Chambre des crimes financiers près la Cour d’appel de Casablanca, un délai afin de pouvoir exposer l’ensemble des faits liés à cette affaire. Selon le quotidien Assabah du lundi 14 janvier, l’ex-président du Conseil préfectoral de Casablanca (PAM) a contesté les accusations portées contre lui, les qualifiant de fondées sur des collusions et des erreurs.
Après la présentation des charges retenues contre lui, Saïd Naciri a sollicité plus de temps pour « exposer la vérité et éclaircir les zones d’ombre », soulignant que les accusations étaient basées sur des faux éléments ayant faussé le cours de l’affaire. Il a insisté sur le fait que ses révélations permettraient de passer de la fiction à la réalité, tout en clamant son innocence, notamment face aux accusations d’implication dans le trafic de drogue, évoquées par Haj Ahmed Ben Brahim, surnommé « Escobar du désert ».
En réponse à cette demande, le tribunal a décidé de reporter l'examen de l’affaire à vendredi prochain.
Le quotidien rappelle que Saïd Naciri fait face à plusieurs accusations, dont la falsification de documents officiels, l'utilisation d’accords suspects, la participation à des ententes relatives à la détention, au transport et à l’exportation de stupéfiants, ainsi que des accusations d’escroquerie, d’abus d’influence, de pression pour obtenir de faux témoignages, et de falsification. Il est aussi accusé de tentative d’exportation de stupéfiants sans autorisation et d’infractions liées aux devises étrangères.
Parallèlement, l’interrogatoire de l’ex-parlementaire Mir Belkacem a été poursuivi. Il a affirmé avoir séjourné dans une villa à la demande de l’ex-épouse du Malien et a demandé au tribunal de convoquer cette dernière pour témoigner à ce sujet.
Lors de l’audience du vendredi dernier, Saïd Naciri a demandé au tribunal, siégeant à la Chambre des crimes financiers près la Cour d’appel de Casablanca, un délai afin de pouvoir exposer l’ensemble des faits liés à cette affaire. Selon le quotidien Assabah du lundi 14 janvier, l’ex-président du Conseil préfectoral de Casablanca (PAM) a contesté les accusations portées contre lui, les qualifiant de fondées sur des collusions et des erreurs.
Après la présentation des charges retenues contre lui, Saïd Naciri a sollicité plus de temps pour « exposer la vérité et éclaircir les zones d’ombre », soulignant que les accusations étaient basées sur des faux éléments ayant faussé le cours de l’affaire. Il a insisté sur le fait que ses révélations permettraient de passer de la fiction à la réalité, tout en clamant son innocence, notamment face aux accusations d’implication dans le trafic de drogue, évoquées par Haj Ahmed Ben Brahim, surnommé « Escobar du désert ».
En réponse à cette demande, le tribunal a décidé de reporter l'examen de l’affaire à vendredi prochain.
Le quotidien rappelle que Saïd Naciri fait face à plusieurs accusations, dont la falsification de documents officiels, l'utilisation d’accords suspects, la participation à des ententes relatives à la détention, au transport et à l’exportation de stupéfiants, ainsi que des accusations d’escroquerie, d’abus d’influence, de pression pour obtenir de faux témoignages, et de falsification. Il est aussi accusé de tentative d’exportation de stupéfiants sans autorisation et d’infractions liées aux devises étrangères.
Parallèlement, l’interrogatoire de l’ex-parlementaire Mir Belkacem a été poursuivi. Il a affirmé avoir séjourné dans une villa à la demande de l’ex-épouse du Malien et a demandé au tribunal de convoquer cette dernière pour témoigner à ce sujet.