Publications trompeuses sur les réseaux sociaux
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) en France a récemment dénoncé les pratiques de Milla Jasmine, influente figure des réseaux sociaux, pour absence de mention publicitaire sur certaines de ses publications.
L’organisme a jugé « trompeuses » les pratiques de l’influenceuse sur ses comptes Instagram, TikTok et Snapchat, où des contenus sponsorisés n’étaient pas identifiés clairement comme tels.
La DGCCRF souligne que l’absence de mention publicitaire peut amener le public à croire que ces recommandations sont des avis personnels, faussant ainsi la perception des consommateurs.
L’organisme a jugé « trompeuses » les pratiques de l’influenceuse sur ses comptes Instagram, TikTok et Snapchat, où des contenus sponsorisés n’étaient pas identifiés clairement comme tels.
La DGCCRF souligne que l’absence de mention publicitaire peut amener le public à croire que ces recommandations sont des avis personnels, faussant ainsi la perception des consommateurs.
Une mise en garde de la DGCCRF
La mesure prise par la DGCCRF à l’encontre de Milla Jasmine ne comprend pas d’amende, mais une injonction lui ordonnant de « cesser ces pratiques ».
Cette action s’inscrit dans une politique plus vaste d’encadrement des pratiques des influenceurs, particulièrement depuis la promulgation d'une loi contre les abus dans le marketing d’influence.
D'autres figures de la télé-réalité, telles que Capucine Anav et Julien Bert, ont également été rappelées à l'ordre dans cette démarche visant à protéger les consommateurs des contenus sponsorisés dissimulés.
Cette action s’inscrit dans une politique plus vaste d’encadrement des pratiques des influenceurs, particulièrement depuis la promulgation d'une loi contre les abus dans le marketing d’influence.
D'autres figures de la télé-réalité, telles que Capucine Anav et Julien Bert, ont également été rappelées à l'ordre dans cette démarche visant à protéger les consommateurs des contenus sponsorisés dissimulés.
Des abus répétés malgré les réglementations
Malgré les règles d’utilisation strictes des réseaux sociaux et les multiples injonctions de la DGCCRF, la pratique de publicité dissimulée reste répandue.
Les plateformes n’ont jusqu’ici pris aucune mesure spécifique pour sanctionner ces comportements, malgré les abus signalés par les autorités.
Milla Jasmine a continué à publier des stories sans mention explicite de « collaboration commerciale » peu avant la publication de l’injonction, soulevant des questions sur le respect de ces nouvelles directives par les influenceurs.
Les plateformes n’ont jusqu’ici pris aucune mesure spécifique pour sanctionner ces comportements, malgré les abus signalés par les autorités.
Milla Jasmine a continué à publier des stories sans mention explicite de « collaboration commerciale » peu avant la publication de l’injonction, soulevant des questions sur le respect de ces nouvelles directives par les influenceurs.