Parler anglais : un défi pour le Maroc globalisé
Le Maroc se classe à la 76e position sur 116 pays dans l’English Proficiency Index 2024, avec un score de 479 sur 1.000. Bien que le Royaume ait légèrement amélioré ses indicateurs, il reste dans la catégorie des pays ayant une maîtrise faible de l’anglais, loin derrière des pays voisins comme la Tunisie.
Cette situation reflète des lacunes dans le système éducatif marocain où l’apprentissage de l’anglais reste souvent relégué au second plan face au français et à l’arabe. Pourtant, dans un monde globalisé, la maîtrise de l’anglais est devenue un levier stratégique pour l’éducation, le commerce et l’emploi. Selon un rapport de l’UNESCO, "les pays avec un bon niveau d’anglais attirent davantage d’investissements étrangers et augmentent leur compétitivité économique".
D’autres pays en développement, comme le Vietnam, ont investi massivement dans l’enseignement de l’anglais et en récoltent déjà les fruits sur le plan économique et touristique. Au Maroc, des initiatives récentes, comme l’introduction de cours d’anglais dès le primaire, visent à combler ce retard, mais les résultats tardent à apparaître.
Une sensibilisation accrue à l’importance de l’anglais est essentielle. À long terme, un changement structurel dans le système éducatif pourrait positionner le Maroc comme un acteur global compétitif.
Cette situation reflète des lacunes dans le système éducatif marocain où l’apprentissage de l’anglais reste souvent relégué au second plan face au français et à l’arabe. Pourtant, dans un monde globalisé, la maîtrise de l’anglais est devenue un levier stratégique pour l’éducation, le commerce et l’emploi. Selon un rapport de l’UNESCO, "les pays avec un bon niveau d’anglais attirent davantage d’investissements étrangers et augmentent leur compétitivité économique".
D’autres pays en développement, comme le Vietnam, ont investi massivement dans l’enseignement de l’anglais et en récoltent déjà les fruits sur le plan économique et touristique. Au Maroc, des initiatives récentes, comme l’introduction de cours d’anglais dès le primaire, visent à combler ce retard, mais les résultats tardent à apparaître.
Une sensibilisation accrue à l’importance de l’anglais est essentielle. À long terme, un changement structurel dans le système éducatif pourrait positionner le Maroc comme un acteur global compétitif.