Entrée dans le monde de la restauration
L’homme d’affaires prévoit l’ouverture de son tout premier restaurant à Los Angeles, un établissement qui promet une expérience immersive entre nostalgie des années 50 et innovation technologique.
Un rêve d’enfant devenu réalité
Ce nouveau projet, décrit comme un vieux rêve que Musk nourrissait depuis longtemps, s’incarne à travers un diner à l’américaine inspiré de l’époque des fifties.
Sawyer Merritt, actionnaire de Tesla, a dévoilé sur les réseaux sociaux les premières infos : un décor rétro avec néons, burgers grillés, milk-shakes maison, et une touche futuriste bien dans l’ADN de Musk.
Le concept ne se limite pas à l’assiette : le restaurant proposera également des projections de films en drive-in, avec deux écrans géants de 15 mètres et plus de 75 bornes Tesla Supercharger à disposition des clients.
Une touche hollywoodienne pour un projet très attendu
Il serait presque prêt à ouvrir ses portes. En cuisine, c’est le chef Eric Greenspan, personnalité bien connue du petit écran aux États-Unis, qui orchestrera les plats.
Le magazine Vanity Fair a confirmé sa participation, ajoutant une note gastronomique à ce lieu déjà très attendu.
NEWS: Chef Eric Greenspan will run @Tesla's upcoming Hollywood diner, which will include a drive-in movie theater with two 45-foot LED movie screens and over 75 V4 Supercharger stalls.
— Sawyer Merritt (@SawyerMerritt) March 27, 2025
The diner will feature a "1950s retro charm, dazzling neon lights, the unmistakable scent of… pic.twitter.com/Mx5EXcSgvN
Une annonce qui fait réagir
L’annonce, bien que surprenante, intervient dans un contexte particulier. Depuis sa nomination à la tête du DOGE (Department of Government Efficiency) sous l’administration Trump, Elon Musk fait face à une baisse des ventes de Tesla, aggravée par ses prises de position controversées sur X, notamment en faveur de partis d’extrême-droite européens.
Malgré cela, il persiste à vouloir créer des expériences uniques. À la suite du tweet de Sawyer Merritt, Musk lui-même a confirmé le projet d’un simple « Ça va être cool », fidèle à son style direct et énigmatique.