De la pologne au Monde : L'ascension spectaculaire d'ElevenLabs
Les fondateurs d’ElevenLabs, marqués par leurs souvenirs de doublages médiocres dans les films américains, ont décidé d’explorer les potentialités de l’intelligence artificielle pour améliorer la qualité sonore des applications multimédia. Leur objectif était clair : créer une technologie de voix synthétique qui réponde aux besoins des industries créatives. Aujourd’hui, ElevenLabs offre une gamme de services allant de la traduction text-to-speech au clonage vocal, le tout accessible via une API intuitive.
Cette technologie ne se limite pas à du simple clonage. Elle permet de conserver les intonations et les émotions des voix originales, offrant ainsi une expérience enrichissante pour des applications variées, telles que le doublage de films, la création de livres audio, et même la génération de narrations. Un exemple marquant est la traduction multilingue d’une interview entre Lex Fridman et le Président ukrainien, où chaque langue a su conserver les qualités vocales de l’original.
Cependant, le succès d’ElevenLabs n’est pas sans soulever des questions éthiques. La technologie de clonage vocal a suscité des controverses, notamment en ce qui concerne la reproduction des voix de personnes décédées. Un incident a particulièrement retenu l’attention : Aurore Bergé, ministre en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a accusé la start-up d’utiliser sans autorisation la voix de son défunt père, Alain Dorval, célèbre pour être la voix française de Sylvester Stallone. Bien qu’ElevenLabs ait affirmé que la décision finale sur l’utilisation de cette voix reste entre les mains de la famille, cette situation met en lumière l’importance cruciale du consentement et de la transparence dans l’usage de ces technologies.
Malgré ces défis, l’avenir d’ElevenLabs semble radieux. Avec le soutien d’investisseurs prestigieux tels que Andreessen Horowitz et Disney, la start-up continue d’attirer des clients de renom, y compris des éditeurs comme le Washington Post et des développeurs de jeux vidéo, renforçant ainsi sa position sur le marché.
Cette technologie ne se limite pas à du simple clonage. Elle permet de conserver les intonations et les émotions des voix originales, offrant ainsi une expérience enrichissante pour des applications variées, telles que le doublage de films, la création de livres audio, et même la génération de narrations. Un exemple marquant est la traduction multilingue d’une interview entre Lex Fridman et le Président ukrainien, où chaque langue a su conserver les qualités vocales de l’original.
Cependant, le succès d’ElevenLabs n’est pas sans soulever des questions éthiques. La technologie de clonage vocal a suscité des controverses, notamment en ce qui concerne la reproduction des voix de personnes décédées. Un incident a particulièrement retenu l’attention : Aurore Bergé, ministre en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a accusé la start-up d’utiliser sans autorisation la voix de son défunt père, Alain Dorval, célèbre pour être la voix française de Sylvester Stallone. Bien qu’ElevenLabs ait affirmé que la décision finale sur l’utilisation de cette voix reste entre les mains de la famille, cette situation met en lumière l’importance cruciale du consentement et de la transparence dans l’usage de ces technologies.
Malgré ces défis, l’avenir d’ElevenLabs semble radieux. Avec le soutien d’investisseurs prestigieux tels que Andreessen Horowitz et Disney, la start-up continue d’attirer des clients de renom, y compris des éditeurs comme le Washington Post et des développeurs de jeux vidéo, renforçant ainsi sa position sur le marché.