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mp3 (4.83 Mo)
Ici, l’indicatif est de mise !
Une allocution de chef, brasse, chapeaute, et soude un parterre bon public, bat l’inébranlable mesure citoyenne, claironne de droit, nargue les travers, allie emphase et sobriété, dans les enceintes du parlement. Ici, l’indicatif est de mise, puisque cette résonnance faite effet est du ressort de la cause nationale.
El Othmani, au fait de la primauté hors-échelle, quasi-transcendante, qui jouxte le sacré toutes parcelles confondues, celle indéboulonnable, et pérenne, qui se refuse aux concessions, aux tergiversations, aux calculs politicards, aux tours de passe-passe, cette primauté nationale, qui d’un revers de main souverain, accule au mur du dérisoire, et des balivernes de ces petitesses sournoises, de ces affronts sans-gênes, par malheur, voisines, et qui s’échinent, s’arrachent comme les derniers des lutins pour mettre à mal les derniers acquis en date du Maroc en matière de son intégrité territoriale.
Une allocution de chef, brasse, chapeaute, et soude un parterre bon public, bat l’inébranlable mesure citoyenne, claironne de droit, nargue les travers, allie emphase et sobriété, dans les enceintes du parlement. Ici, l’indicatif est de mise, puisque cette résonnance faite effet est du ressort de la cause nationale.
El Othmani, au fait de la primauté hors-échelle, quasi-transcendante, qui jouxte le sacré toutes parcelles confondues, celle indéboulonnable, et pérenne, qui se refuse aux concessions, aux tergiversations, aux calculs politicards, aux tours de passe-passe, cette primauté nationale, qui d’un revers de main souverain, accule au mur du dérisoire, et des balivernes de ces petitesses sournoises, de ces affronts sans-gênes, par malheur, voisines, et qui s’échinent, s’arrachent comme les derniers des lutins pour mettre à mal les derniers acquis en date du Maroc en matière de son intégrité territoriale.
Ce coup d’épée dans l’eau !
El Othmani, bordé de par ce carré de choix qu’il occupe sur l’échiquier politique, ce carré angulé qui lui insuffle rigueur, obédience aux intérêts du pays, a vertement rudoyé de ces mauvaises langues qui ne tournent qu’une fois, souvent à vide, qui chargent, légères et mesquines, profèrent de ces insalubrités, si tant est qu’elle puisse déranger, de par leurs sauts de cabris, la lignée officielle, gravée dans l’exécutif, de la reconnaissance du Pays de L’oncle Sam de la marocanité du Sahara.
Un charivari ridicule, fait de jappements, et d’aberrations, qui émet un sifflement oiseux, sitôt étouffé, à leur grande déconvenue, par l’ambassadeur Fisher, qui dit au mot, que Joe Biden ne reculera en rien sur la reconnaissance du Sahara Marocain.
EL Othmani, réitère, ce propos bien calibré, qui vaut de par son tuyau officiel, tout en fusillant du verbe tranché de ceux qui, dans une moindre mesure, et sans pour autant braver cet acquis, abrègent, affadissent sa portée, peinent, par nous ne savons quelle déroute, à l’étendre jusqu’à cette apogée diplomatique qui est sienne.
El Othmani, bordé de par ce carré de choix qu’il occupe sur l’échiquier politique, ce carré angulé qui lui insuffle rigueur, obédience aux intérêts du pays, a vertement rudoyé de ces mauvaises langues qui ne tournent qu’une fois, souvent à vide, qui chargent, légères et mesquines, profèrent de ces insalubrités, si tant est qu’elle puisse déranger, de par leurs sauts de cabris, la lignée officielle, gravée dans l’exécutif, de la reconnaissance du Pays de L’oncle Sam de la marocanité du Sahara.
Un charivari ridicule, fait de jappements, et d’aberrations, qui émet un sifflement oiseux, sitôt étouffé, à leur grande déconvenue, par l’ambassadeur Fisher, qui dit au mot, que Joe Biden ne reculera en rien sur la reconnaissance du Sahara Marocain.
EL Othmani, réitère, ce propos bien calibré, qui vaut de par son tuyau officiel, tout en fusillant du verbe tranché de ceux qui, dans une moindre mesure, et sans pour autant braver cet acquis, abrègent, affadissent sa portée, peinent, par nous ne savons quelle déroute, à l’étendre jusqu’à cette apogée diplomatique qui est sienne.
Positions bon marché, et bobards voisins !
Le chef du gouvernement, vivace, le cœur sur la main, ne manqua pas d’étayer, comme soubassement, de ce qui nourrit ces velléités bon marché, mal en place, qui s’éprennent du Maroc, en soulignant de ces positions monnayables à merci, qui, sans scrupules, se prononcent vendus contre l’intérêt du pays.
El Othmani, sur la même lancée, a mis au point de ces coups tordus, perpétrés de visu, sans gêne, par un pays voisin : L’Algérie, pour ne pas la nommer, puisse-t-elle un jour revenir sur ses turpitudes, reconsidérer sa position.
Laquelle Algérie n’eut de cesse, par le malheureux relais de sa presse officielle, de donner de tout son saoul dans l’indigne, de parsemer en veux-tu en voilà, en veux-tu non merci, de ses humeurs à teneur mensongère, facétieuse, alors que le Maroc délogeait, maître de ses frontières, l’ennemi Polisarisible.
Somme toute, le chef de gouvernement, sut faire preuve de constance, de rigueur, dans ce vis-à-vis politique et citoyen où la primauté nationale se hisse par-delà le temporel.
Rédigé par Hicham Aboumerrouane
Le chef du gouvernement, vivace, le cœur sur la main, ne manqua pas d’étayer, comme soubassement, de ce qui nourrit ces velléités bon marché, mal en place, qui s’éprennent du Maroc, en soulignant de ces positions monnayables à merci, qui, sans scrupules, se prononcent vendus contre l’intérêt du pays.
El Othmani, sur la même lancée, a mis au point de ces coups tordus, perpétrés de visu, sans gêne, par un pays voisin : L’Algérie, pour ne pas la nommer, puisse-t-elle un jour revenir sur ses turpitudes, reconsidérer sa position.
Laquelle Algérie n’eut de cesse, par le malheureux relais de sa presse officielle, de donner de tout son saoul dans l’indigne, de parsemer en veux-tu en voilà, en veux-tu non merci, de ses humeurs à teneur mensongère, facétieuse, alors que le Maroc délogeait, maître de ses frontières, l’ennemi Polisarisible.
Somme toute, le chef de gouvernement, sut faire preuve de constance, de rigueur, dans ce vis-à-vis politique et citoyen où la primauté nationale se hisse par-delà le temporel.
Rédigé par Hicham Aboumerrouane