Après deux sorties de route à ce stade de la compétition les deux dernières saisons, le PSG a très envie de reprendre ses bonnes habitudes dans une épreuve dont il détient le record de victoires (14). Mais le gros rendez-vous de février est bien le 8e de finale aller de C1 contre les Basques de la Real Sociedad.
Le PSG a souvent été pointé du doigt pour son manque d'intensité quand le niveau des débats s'élève vers les sommets européens. Cette année, il bénéficie d'une préparation ad hoc grâce à Brest. Les Finistériens avaient déjà donné du fil à retordre aux champions de France en titre, fin octobre. Ils avaient remonté deux buts de retard et auraient pu prendre les commandes avant de s'incliner dans les derniers instants dans une ambiance houleuse (3-2).
Le 28 janvier au Parc des Princes, même scénario avec un PSG qui pensait avoir fait le plus dur en marquant deux fois mais s'est fait rejoindre. Cette fois, Brest a tenu le score et ramené un point précieux (2-2).
- Culture du combat -
Ce match était la preuve que Paris a encore du pain sur la planche pour atteindre le plus haut niveau européen, après être passé très près de l'élimination dès la phase de groupes de la compétition-reine des clubs en décembre.
Alors que Luis Enrique promettait fin 2023 que l'équipe serait «meilleure en février», le match de mercredi apparaît comme un nouvel étalonnage et l'occasion de poursuivre la préparation.
L'intensité et la détermination dont font preuve les hommes d'Eric Roy, troisièmes de Ligue 1 malgré l'un des budgets les plus faibles, sont à même de bousculer les Parisiens de la même manière, toutes proportions gardées, que la Real Sociedad. Le club de San Sebastian et Brest partagent la même culture du combat et ne nourrissent pas de complexes face aux clubs plus renommés.
Brest l'a encore prouvé dimanche en Ligue 1 en tenant la dragée haute aux Niçois, deuxièmes (0-0). Et ce même si son métronome Pierre Lees-Melou a connu un match difficile - preuve de la cohésion du groupe.
Mercredi, «cela va être un match important et difficile, si Brest peut se créer des occasions et que le scénario est similaire à la précédente confrontation entre les deux équipes, on sera éliminés», a cinglé Luis Enrique.
Dans la capitale, la semaine de préparation s'achèvera samedi avec un autre match corsé contre Lille, 4e du championnat, qui a tenu Paris en échec en décembre et vient de corriger Clermont (4-0).
Le PSG a souvent été pointé du doigt pour son manque d'intensité quand le niveau des débats s'élève vers les sommets européens. Cette année, il bénéficie d'une préparation ad hoc grâce à Brest. Les Finistériens avaient déjà donné du fil à retordre aux champions de France en titre, fin octobre. Ils avaient remonté deux buts de retard et auraient pu prendre les commandes avant de s'incliner dans les derniers instants dans une ambiance houleuse (3-2).
Le 28 janvier au Parc des Princes, même scénario avec un PSG qui pensait avoir fait le plus dur en marquant deux fois mais s'est fait rejoindre. Cette fois, Brest a tenu le score et ramené un point précieux (2-2).
«C'est une super équipe, ils auraient même pu gagner le match», s'était exclamé Luis Enrique, l'entraîneur du PSG. Une alerte en vue de la Ligue des champions? «C'est une alerte avant le match en Coupe de France, même quand vous menez 2-0 contre eux vous n'êtes pas à l'abri», a souligné l'Espagnol.
- Culture du combat -
Ce match était la preuve que Paris a encore du pain sur la planche pour atteindre le plus haut niveau européen, après être passé très près de l'élimination dès la phase de groupes de la compétition-reine des clubs en décembre.
Alors que Luis Enrique promettait fin 2023 que l'équipe serait «meilleure en février», le match de mercredi apparaît comme un nouvel étalonnage et l'occasion de poursuivre la préparation.
L'intensité et la détermination dont font preuve les hommes d'Eric Roy, troisièmes de Ligue 1 malgré l'un des budgets les plus faibles, sont à même de bousculer les Parisiens de la même manière, toutes proportions gardées, que la Real Sociedad. Le club de San Sebastian et Brest partagent la même culture du combat et ne nourrissent pas de complexes face aux clubs plus renommés.
Brest l'a encore prouvé dimanche en Ligue 1 en tenant la dragée haute aux Niçois, deuxièmes (0-0). Et ce même si son métronome Pierre Lees-Melou a connu un match difficile - preuve de la cohésion du groupe.
Mercredi, «cela va être un match important et difficile, si Brest peut se créer des occasions et que le scénario est similaire à la précédente confrontation entre les deux équipes, on sera éliminés», a cinglé Luis Enrique.
Même si, a-t-il précisé, «en principe l'avantage de jouer contre Brest, dans un court espace de temps, c'est qu'on sait clairement les difficultés qu'on va rencontrer».
A savoir: «Ils sont dans une série de matches sans défaite, sont troisièmes du championnat, ils vont au duel, n'ont pas peur, perdent peu le ballon, sont dangereux sur les centres, appliquent un bon pressing».
Dans la capitale, la semaine de préparation s'achèvera samedi avec un autre match corsé contre Lille, 4e du championnat, qui a tenu Paris en échec en décembre et vient de corriger Clermont (4-0).