Boom, Clearview AI vient de se faire tacler sévèrement par le régulateur néerlandais de la protection des données. Mardi, la startup spécialisée dans la reconnaissance faciale a écopé d’une amende monumentale de 30,5 millions d’euros (soit environ 33,7 millions de dollars). Pourquoi ? Pour avoir monté un "database" de visages jugé illégal par les autorités. Imaginez des milliards de photos collectées sans le consentement des personnes concernées, comme si tout Internet n’était qu’un immense catalogue d’albums photo à piller. C'est exactement ce que reproche l’Autorité néerlandaise de protection des données (DPA).
Pour faire simple, Clearview AI, qui a pour habitude de scrapper des images publiques sur les réseaux sociaux et autres sites internet pour alimenter sa base de données, s’est pris les pieds dans le tapis de la légalité européenne. Le DPA ne s’est pas contenté de la sanctionner : elle a aussi mis en garde toutes les entreprises néerlandaises. Message clair : si vous utilisez les services de Clearview, attendez-vous à des ennuis !
Ce n’est pas la première fois que Clearview se fait épingler pour ses pratiques controversées. L’Europe a déjà serré la vis sur la question de la reconnaissance faciale, et cette amende colossale s'inscrit dans une série de sanctions contre les entreprises qui dépassent les bornes en matière de vie privée. Bref, les big data, c’est cool, mais les droits des personnes, c’est sacré. À bon entendeur…
Pour faire simple, Clearview AI, qui a pour habitude de scrapper des images publiques sur les réseaux sociaux et autres sites internet pour alimenter sa base de données, s’est pris les pieds dans le tapis de la légalité européenne. Le DPA ne s’est pas contenté de la sanctionner : elle a aussi mis en garde toutes les entreprises néerlandaises. Message clair : si vous utilisez les services de Clearview, attendez-vous à des ennuis !
Ce n’est pas la première fois que Clearview se fait épingler pour ses pratiques controversées. L’Europe a déjà serré la vis sur la question de la reconnaissance faciale, et cette amende colossale s'inscrit dans une série de sanctions contre les entreprises qui dépassent les bornes en matière de vie privée. Bref, les big data, c’est cool, mais les droits des personnes, c’est sacré. À bon entendeur…