Jonathan Harroch, fondateur de City Club, a été placé en garde à vue prolongée après son arrestation dans un palace de Casablanca en compagnie de deux jeunes femmes. Cette affaire intervient alors que l'entrepreneur est déjà au cœur de plusieurs polémiques.

L'arrestation de Jonathan Harroch met en lumière les relations troubles entre le monde des affaires et la justice au Maroc. À travers cette affaire, se posent des questions sur l'éthique des dirigeants d'entreprise et sur la transparence dans les secteurs qu'ils contrôlent. Si les faits incriminant Harroch sont avérés, cela pourrait affecter l’image de City Club, un acteur majeur du secteur du fitness au Maroc.

Dans plusieurs pays, des figures publiques ou des dirigeants d’entreprises ont été confrontés à des scandales qui ont affecté leurs affaires, comme ce fut le cas pour des entreprises dirigées par des magnats tombés en disgrâce à cause de leur comportement personnel. Cela montre à quel point l’intégrité personnelle est devenue un facteur crucial dans la perception publique des dirigeants.

À court terme, cette affaire pourrait ternir l'image de Jonathan Harroch et affecter l’activité de City Club. À long terme, elle pourrait ouvrir le débat sur la responsabilité morale des chefs d'entreprise au Maroc. Toutefois, les incertitudes concernant l'issue de cette affaire judiciaire restent importantes.