Des conversations encore plus artificielles
Si vous trouvez déjà les conversations sur les applications de rencontres artificielles, sachez que la situation risque de s'aggraver. Des chatbots, c'est-à-dire des robots conversationnels, vont être introduits dans ces applications.
En effet, l'application CupidBot permettra aux utilisateurs (seulement les hommes hétérosexuels) de choisir des profils et de parler avec des femmes à leur place, comme l'a rapporté le média Vice.
L'algorithme d'intelligence artificielle (IA) est en mesure d'interagir avec des applications de rencontres comme Tinder. Selon le site, il a la capacité de sélectionner les filles qui correspondent exactement à vos préférences et de faciliter des conversations de qualité, jusqu'à ce qu'un lieu et une heure de rendez-vous soient convenus.
Après cela, l'utilisateur peut ajouter le rendez-vous à son calendrier CupidBot moyennant un coût mensuel de 15 dollars (environ 14 euros).
En effet, l'application CupidBot permettra aux utilisateurs (seulement les hommes hétérosexuels) de choisir des profils et de parler avec des femmes à leur place, comme l'a rapporté le média Vice.
L'algorithme d'intelligence artificielle (IA) est en mesure d'interagir avec des applications de rencontres comme Tinder. Selon le site, il a la capacité de sélectionner les filles qui correspondent exactement à vos préférences et de faciliter des conversations de qualité, jusqu'à ce qu'un lieu et une heure de rendez-vous soient convenus.
Après cela, l'utilisateur peut ajouter le rendez-vous à son calendrier CupidBot moyennant un coût mensuel de 15 dollars (environ 14 euros).
Développée par des anciens employés de Tinder
L'application CupidBot, qui est encore en version test, a été développée par une équipe anonyme composée d'anciens employés de Tinder. L'algorithme de l'application repose sur les anciens "matchs" et conversations de l'utilisateur sur Tinder.
Cependant, cela soulève un problème éthique important : le manque de transparence envers les femmes avec qui l'utilisateur interagit sur l'application, qui ne savent pas qu'elles échangent avec un robot.
Cependant, cela soulève un problème éthique important : le manque de transparence envers les femmes avec qui l'utilisateur interagit sur l'application, qui ne savent pas qu'elles échangent avec un robot.
"Nous conseillons vivement à nos utilisateurs d'informer les femmes une fois qu'ils ont obtenu leurs coordonnées", tient à préciser à Vice, l'un des fondateurs.
Questions éthiques
Les fondateurs de cette application controversée soutiennent que les hommes hétérosexuels sont désavantagés sur les plateformes de rencontres. Selon eux, "nous nous concentrons sur la vie amoureuse des hommes car ce sont eux qui souffrent le plus des applications de rencontres."
Il faut énormément de temps à l'homme "moyen" pour trouver ne serait-ce qu'un rendez-vous par mois." Ils affirment que leur but n'est pas de remplir leur application de conversations artificielles, mais plutôt de "forcer Tinder à réévaluer son mode de fonctionnement et à faciliter le processus de rencontre".
En outre, d'autres utilisateurs de Tinder ont recours à l'IA pour obtenir des conseils, comme rapporté dans un article de Vice. Ils utilisent notamment l'IA développée par Facebook, appelée LLaMA, pour trouver des phrases originales à mettre sur leur profil ou pour trouver des sujets intéressants à aborder lors des conversations.
Bien que le modèle de LLaMA ait été divulgué en février, les utilisateurs l'utilisent sans aucune sécurité fournie par Facebook.
L'odj avec BFMTV
Il faut énormément de temps à l'homme "moyen" pour trouver ne serait-ce qu'un rendez-vous par mois." Ils affirment que leur but n'est pas de remplir leur application de conversations artificielles, mais plutôt de "forcer Tinder à réévaluer son mode de fonctionnement et à faciliter le processus de rencontre".
En outre, d'autres utilisateurs de Tinder ont recours à l'IA pour obtenir des conseils, comme rapporté dans un article de Vice. Ils utilisent notamment l'IA développée par Facebook, appelée LLaMA, pour trouver des phrases originales à mettre sur leur profil ou pour trouver des sujets intéressants à aborder lors des conversations.
Bien que le modèle de LLaMA ait été divulgué en février, les utilisateurs l'utilisent sans aucune sécurité fournie par Facebook.
L'odj avec BFMTV