Ce projet, orchestré par Casablanca Events et Animation, a pour vocation de démocratiser l’art dans l’espace public tout en métamorphosant les quartiers de la métropole grâce à des fresques monumentales. Plus qu’un simple événement artistique, CASAMOUJA s’inscrit dans une démarche citoyenne et culturelle alignée avec les objectifs du Nouveau Modèle de Développement du Maroc.
Depuis 2017, CASAMOUJA redéfinit le paysage urbain de Casablanca en transformant ses murs en véritables toiles d’expression pour des artistes marocains et internationaux. Cette année, le thème des valeurs citoyennes – civisme, solidarité, intégrité, patriotisme, tolérance et paix – a été au cœur de l’événement. Ces valeurs résonnent comme un appel à construire une société inclusive et harmonieuse où l’art devient un vecteur d’engagement social.
L’art urbain : un outil de sensibilisation et de réflexion
La 9e édition a mis en lumière le rôle de l’art comme moteur de transformation sociale. Les fresques réalisées dans le cadre de CASAMOUJA ne sont pas de simples décorations urbaines. Elles véhiculent des messages puissants, invitant les citoyens à réfléchir sur des thématiques essentielles telles que la solidarité intergénérationnelle, la protection de l’environnement ou encore l’unité nationale. Chaque fresque raconte une histoire unique, capturant l’essence des valeurs citoyennes.
Parmi les œuvres marquantes de cette édition, Hamza Bendarham, alias Ben, a illustré l’importance de préserver l’environnement et de transmettre les savoirs entre générations à travers deux fresques captivantes. Said Sabbah, connu sous le nom de Dais, a exploré la thématique de l’interdépendance humaine avec une œuvre symbolisant des mains entrelacées. Ayoub Dadouche, alias Afrofatcap, a quant à lui représenté une scène émouvante d’entraide entre générations.
Une dimension internationale et locale
L’artiste chilien Fabián Bravo Guerrero, surnommé Kato, a apporté une touche internationale avec une fresque mêlant des motifs culturels marocains et des éléments symboliques comme les hirondelles. Cette œuvre a été saluée mondialement, obtenant la 2ᵉ place dans le classement « BEST OF OCTOBER TOP 3 » de Street Art Cities. Amine Hajila (Brush) et d’autres artistes locaux ont également contribué à enrichir cette édition avec des créations alliant tradition et modernité.
Un impact durable sur Casablanca
Avec plus de 90 fresques réalisées depuis sa création, CASAMOUJA transforme durablement le visage de Casablanca. Ces œuvres deviennent des lieux de rencontre et d’échange, renforçant le lien entre les habitants et leur ville. Elles incarnent un hommage à la culture marocaine tout en célébrant la diversité artistique.
CASAMOUJA s’inscrit ainsi dans la stratégie culturelle de WeCasablanca, visant à faire de la métropole un pôle d’attractivité culturelle et artistique. Ce projet témoigne du potentiel du street art à créer du lien social tout en embellissant l’espace public.
Depuis 2017, CASAMOUJA redéfinit le paysage urbain de Casablanca en transformant ses murs en véritables toiles d’expression pour des artistes marocains et internationaux. Cette année, le thème des valeurs citoyennes – civisme, solidarité, intégrité, patriotisme, tolérance et paix – a été au cœur de l’événement. Ces valeurs résonnent comme un appel à construire une société inclusive et harmonieuse où l’art devient un vecteur d’engagement social.
L’art urbain : un outil de sensibilisation et de réflexion
La 9e édition a mis en lumière le rôle de l’art comme moteur de transformation sociale. Les fresques réalisées dans le cadre de CASAMOUJA ne sont pas de simples décorations urbaines. Elles véhiculent des messages puissants, invitant les citoyens à réfléchir sur des thématiques essentielles telles que la solidarité intergénérationnelle, la protection de l’environnement ou encore l’unité nationale. Chaque fresque raconte une histoire unique, capturant l’essence des valeurs citoyennes.
Parmi les œuvres marquantes de cette édition, Hamza Bendarham, alias Ben, a illustré l’importance de préserver l’environnement et de transmettre les savoirs entre générations à travers deux fresques captivantes. Said Sabbah, connu sous le nom de Dais, a exploré la thématique de l’interdépendance humaine avec une œuvre symbolisant des mains entrelacées. Ayoub Dadouche, alias Afrofatcap, a quant à lui représenté une scène émouvante d’entraide entre générations.
Une dimension internationale et locale
L’artiste chilien Fabián Bravo Guerrero, surnommé Kato, a apporté une touche internationale avec une fresque mêlant des motifs culturels marocains et des éléments symboliques comme les hirondelles. Cette œuvre a été saluée mondialement, obtenant la 2ᵉ place dans le classement « BEST OF OCTOBER TOP 3 » de Street Art Cities. Amine Hajila (Brush) et d’autres artistes locaux ont également contribué à enrichir cette édition avec des créations alliant tradition et modernité.
Un impact durable sur Casablanca
Avec plus de 90 fresques réalisées depuis sa création, CASAMOUJA transforme durablement le visage de Casablanca. Ces œuvres deviennent des lieux de rencontre et d’échange, renforçant le lien entre les habitants et leur ville. Elles incarnent un hommage à la culture marocaine tout en célébrant la diversité artistique.
CASAMOUJA s’inscrit ainsi dans la stratégie culturelle de WeCasablanca, visant à faire de la métropole un pôle d’attractivité culturelle et artistique. Ce projet témoigne du potentiel du street art à créer du lien social tout en embellissant l’espace public.