M. Baraka a fait état de la mobilisation de suffisamment d’eau pour approvisionner 2,7 millions de personnes dans les zones rurales, notant que l’insuffisance des eaux dans les périmètres irrigués a eu un impact sur la production agricole, mais aussi sur les prix et le pouvoir d’achat des citoyens.
Pour faire face à ce phénomène, le Maroc a développé “une véritable stratégie intégrée”, dont le Roi Mohammed VI a défini les axes importants, a précisé M. Baraka, notant que le premier axe concerne la construction des barrages, dont la capacité de stockage s’élève aujourd’hui à environ 20 milliards de m3 et devant atteindre bientôt 27 milliards de m3.
Le deuxième objectif porte sur le développement des eaux non conventionnelles, à travers notamment un plan de dessalement de l’eau de mer, grâce à la construction d’une dizaine de nouvelles stations qui porteront la capacité de production de 140 millions de m3 à 1,5 milliard de m3 d’ici 2030, a-t-il ajouté, notant ces usines fonctionnent avec une énergie fournie par des sources renouvelables, ce qui permettra de réduire le prix de production.
M. Baraka a également évoqué la réutilisation des eaux usées, avec l’ambition de tripler la capacité de réutilisation entre 2021 et 2027.
Il a aussi fait état du développement du transfert des eaux des bassins excédentaires à ceux déficitaires pour éviter la déperdition des eaux en mer, citant en l’occurrence l’autoroute de l’eau entre Sebou et Bouregreg, qui s’étend sur 65 kilomètres et a permis de transférer 1.200 mètres cubes d’eau par jour.
Un autre axe de la stratégie marocaine, cité par M. Baraka, concerne l’action sur la demande et la réalisation de l’efficacité hydrique, à travers le traitement des canalisations pour éviter le gaspillage.
Enfin, le ministre a évoqué les innovations dans le secteur agricole, via les techniques de goutte-à-goutte, le développement de variétés économes en eau et l’arrêt des subventions aux cultures aquavores comme l’avocat.
Il a, en outre, relevé les efforts de préservation des nappes phréatiques, soulignant que le Maroc développe une gouvernance intégrée de l’eau, avec une approche territoriale.
Outre M. Baraka, cet événement a réuni des décideurs politiques de haut niveau des pays de la région MENA qui ont discuté des leçons tirées des rapports pays de la Banque mondiale sur le climat et le développement (CCDR).
Ils ont aussi présenté des exemples de réformes politiques et d’investissements et souligné la façon dont les Rapports nationaux sur le climat et le développement (CCDR) ont contribué à façonner les priorités des pays de la région.
Pour faire face à ce phénomène, le Maroc a développé “une véritable stratégie intégrée”, dont le Roi Mohammed VI a défini les axes importants, a précisé M. Baraka, notant que le premier axe concerne la construction des barrages, dont la capacité de stockage s’élève aujourd’hui à environ 20 milliards de m3 et devant atteindre bientôt 27 milliards de m3.
Le deuxième objectif porte sur le développement des eaux non conventionnelles, à travers notamment un plan de dessalement de l’eau de mer, grâce à la construction d’une dizaine de nouvelles stations qui porteront la capacité de production de 140 millions de m3 à 1,5 milliard de m3 d’ici 2030, a-t-il ajouté, notant ces usines fonctionnent avec une énergie fournie par des sources renouvelables, ce qui permettra de réduire le prix de production.
M. Baraka a également évoqué la réutilisation des eaux usées, avec l’ambition de tripler la capacité de réutilisation entre 2021 et 2027.
Il a aussi fait état du développement du transfert des eaux des bassins excédentaires à ceux déficitaires pour éviter la déperdition des eaux en mer, citant en l’occurrence l’autoroute de l’eau entre Sebou et Bouregreg, qui s’étend sur 65 kilomètres et a permis de transférer 1.200 mètres cubes d’eau par jour.
Un autre axe de la stratégie marocaine, cité par M. Baraka, concerne l’action sur la demande et la réalisation de l’efficacité hydrique, à travers le traitement des canalisations pour éviter le gaspillage.
Enfin, le ministre a évoqué les innovations dans le secteur agricole, via les techniques de goutte-à-goutte, le développement de variétés économes en eau et l’arrêt des subventions aux cultures aquavores comme l’avocat.
Il a, en outre, relevé les efforts de préservation des nappes phréatiques, soulignant que le Maroc développe une gouvernance intégrée de l’eau, avec une approche territoriale.
Outre M. Baraka, cet événement a réuni des décideurs politiques de haut niveau des pays de la région MENA qui ont discuté des leçons tirées des rapports pays de la Banque mondiale sur le climat et le développement (CCDR).
Ils ont aussi présenté des exemples de réformes politiques et d’investissements et souligné la façon dont les Rapports nationaux sur le climat et le développement (CCDR) ont contribué à façonner les priorités des pays de la région.