L'AIPS-section Afrique, que préside le Sénégalais Abdoulaye Thiam, rappelle à la CAF et au Comité d'Organisation Local (COL) que "l'accréditation presse est exclusivement réservée aux journalistes professionnels clairement identifiés et affiliés à un média, ainsi qu'aux freelances".
Cette confusion entre ces "intrus" et les journalistes professionnels a créé des problèmes lors des conférences de presse, car ces personnes cherchent généralement le buzz plutôt que de fournir une information de qualité.
L'AIPS - section Afrique estime "qu'il est inacceptable que des personnes étrangères à la profession puissent accéder aux mêmes zones de travail (Media Center, Zone Mixte, Tribune de presse, stades d'entraînement, etc.) que les journalistes professionnels", rendant de ce fait difficile, et par endroits, l’exercice de la profession.
L'Association félicite la CAF et le Comité d'Organisation de la CAN (COCAN) pour leurs efforts déployés en vue de la réussite de cet événement, qui est une vitrine du football africain et espère que toutes les mesures nécessaires seront prises pour régulariser la situation et assurer un déroulement optimal du tournoi, poursuit-t-on de même source.
A rappeler que l’Association internationale de la Presse sportive-Afrique et Africa Global Logistics, ont lancé le “Prix AIPS AFRIQUE 2023”, le 12 janvier à Abidjan. Ce prix vise à valoriser les œuvres journalistiques qui vont mettre en lumière les impacts sociaux et économiques de la Coupe d’Afrique des Nations.
Le prix comprend 4 catégories à savoir la presse écrite, la radio, la télévision et le web.
"Sont exclus de cette catégorie, l’ensemble des individus qui ne sont pas tenus par le respect du code de déontologie du journalisme : youtubeurs, influenceurs, facebookeurs, publicistes, lobbyistes…. En général à la recherche du buzz, là où les journalistes professionnels font de l’information", souligne l'AIPS Afrique dans un communiqué parvenu mardi à MAP-Dakar.
Cette confusion entre ces "intrus" et les journalistes professionnels a créé des problèmes lors des conférences de presse, car ces personnes cherchent généralement le buzz plutôt que de fournir une information de qualité.
L'AIPS - section Afrique estime "qu'il est inacceptable que des personnes étrangères à la profession puissent accéder aux mêmes zones de travail (Media Center, Zone Mixte, Tribune de presse, stades d'entraînement, etc.) que les journalistes professionnels", rendant de ce fait difficile, et par endroits, l’exercice de la profession.
"Par conséquent, loin de s’immiscer dans la gestion de la CAN, une propriété de la CAF, l'AIPS-section Afrique invite l'instance panafricaine à garantir les meilleures conditions de travail aux journalistes professionnels accrédités pour le tournoi. Cela passe par le respect des journalistes et de leur métier, ainsi que des relations qu'ils entretiennent avec les acteurs de la compétition", ajoute le communiqué.
L'Association félicite la CAF et le Comité d'Organisation de la CAN (COCAN) pour leurs efforts déployés en vue de la réussite de cet événement, qui est une vitrine du football africain et espère que toutes les mesures nécessaires seront prises pour régulariser la situation et assurer un déroulement optimal du tournoi, poursuit-t-on de même source.
A rappeler que l’Association internationale de la Presse sportive-Afrique et Africa Global Logistics, ont lancé le “Prix AIPS AFRIQUE 2023”, le 12 janvier à Abidjan. Ce prix vise à valoriser les œuvres journalistiques qui vont mettre en lumière les impacts sociaux et économiques de la Coupe d’Afrique des Nations.
Le prix comprend 4 catégories à savoir la presse écrite, la radio, la télévision et le web.